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Pour ouvrir le thème sur la Jeunesse, voilà une BD qui sent bon le sable chaud ^^
Si vous connaissez pas, franchement, je vous invite à découvrir, c'est beau, un voyage graphique et magique !
Par Badelel, sur k.bd :
La semaine dernière déjà, Yvan annonçait le changement de thématique à merveille, tout en gardant un pied (que dis-je, une jambe) dans le thème du mois de juillet. Pour août donc, nous vous proposons un petit virage, direction le retour en enfance et la BD jeunesse. Comme d'habitude, nous profiterons des quatre dimanches à venir pour proposer une sélection, certes non-exhaustive, de ce que peuvent proposer auteurs et éditeurs à nos chères têtes blondes, mais néanmoins éclectique.
Rien de tel, pour commencer, que de plonger la tête dans le sable et dans l'eau salée. Place aux vagues estivales : voici Garance !
Cliquez sur le visuel pour découvrir la chronique de Garance dans son intégralité !
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Là c'est Badelel qui a construit le thème, elle voulait des albums jeunesse mais aussi un regard neuf, revenir en enfance.
les hormones probablement
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Hop, une petite intervention pour parler de la série qui m'a le plus enthousiasmé depuis longtemps. Je présente donc :
Freak's squeele : par F. Maudoux, chez Ankama, quatre tomes parus. On suit des étudiants d'une école de super-héros, ce qui pourrait paraître complètement repompé (Harry Potter, Sentai school...). Le style est essentiellement entre le manga et le comics : des tomes de 140 pages, la plupart en noir et blanc, dans un format plutôt petit, et un découpage adapté. Rien de bien alléchant, sauf que... je n'ai rien lu d'aussi drôle depuis quelques années. C'est frais, rafraîchissant et sans prétention, les histoires sont bien menées et bien rythmées, avec des idées pas piquées des hannetons (surtout à partir du tome 2, où l'histoire démarre vraiment) - le format est bien adapté. On est dans le parodique, avec des références aux séries B (rien qu'à voir le titre), mais dans ce que le parodique a de meilleur : c'est un bonus, pas le coeur de l'histoire. De plus, les personnages (trois personnages principaux, une douzaine de personnages vraiment importants) sont bien trouvés, bien développés, et sont au final vraiment attachants.
L'édition est bien faite, pour un prix modique (moins de 15 euros pour 140 pages et des bonus, je ne croyais plus pouvoir voir ça de nos jours). Les pages en couleurs rendent le tout encore un peu plus dynamique. Les bonus sont très sympathiques, un certain nombre de planches montrent que l'auteur est vraiment bon (design des personnages, notamment) et prend soin de son public.
Pour moi, la meilleure surprise de l'année, et un des meilleurs divertissements que j'ai lu.
Une dernière remarque : les tomes finissent sur des cliffhangers assez monumentaux. Si l'auteur a le mauvais goût de mourir entre deux tomes, rien que pour ça, je le tue.
Edit : forcément, je me plante dans le titre de la série. Merci Lunch.
Dernière modification par Hanako Yamada (12-08-2011 09:52:18)
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J'ai entendu de très bonnes critiques sur cette série oui (tu as oublié un "r" d'ailleurs, c'est Freaks' ^^).
Les BD d'Ankama sont dans des prix tout à fait raisonnables comme tu l'as souligné. Quand tu vois que la moindre BD 46 pages est à 13 euros chez les autres éditeurs...
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ça à l'air très intéressant, je vais l'essayer!
moi, je souhaiterai vous présenter une superbe BD de Olivier milhaud et julien neel (celui qui fait "Lou") : Le viandier de polpette. c'est une bd drôle, poétique, gustative et attachante. je vous la conseille fortement.
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De Julien Neel, personnellement je vous recommande Chaque Chose. Un récit autobiographique fort et poignant qui parle de sa relation père/fils.
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Deuxième album chroniqué dans le cadre de notre sélection jeunesse : Petite souris, grosse bêtise de Loïc Dauvillier et Alain Kokor.
Par Lunch, sur k.bd :
Léopold est maintenant revenu sur le rivage. Comme lui, nous gardons le doux souvenir de Garance dans nos mémoires, puis nous poursuivons notre voyage au gré de la bande dessinée jeunesse. Notre bateau a rejoint la rive et voilà qu'on aperçoit au loin une petite ferme. C'est le cadre que nous avons choisi pour vous parler de Petite souris, grosse Bêtise :
Suzie vit à la campagne avec ses parents. Au milieu des champs et des vaches, non loin de la mer. Seule, elle passe ses journées à jouer au ballon comme son idole : un certain numéro 10 de l'équipe de France de football. Sauf que le foot, quand on n'a pas de partenaire de jeu, c'est un peu ennuyeux. Alors elle fait des bêtises pour occuper le temps... comme tous les enfants de son âge.
À l'école, ses copines découvrent toutes tour à tour la joie de perdre des dents, et de retrouver le matin au réveil les traces du passage de la petite souris. Suzie, elle, ne perd pas ses dents de lait. Ça la rend triste. Mais elle connaît la petite souris !
Cliquez sur le visuel pour découvrir la chronique de Petite souris, grosse bêtise dans son intégralité !
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Freak's squeele , j'avais parcouru ce truc et trouver ça assez génial !
Faudrait que je l'achète.
Mais bon, avant, faudrait que je déménage et que je rachète une bibliothèque.
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j'ai lu aussi, j'aime beaucoup (mais j'ai pas tout lu, j'attends que ma soeur et fournisseuse les achète)
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Les deux albums qui manquaient pour clore cette sélection jeunesse : Toto l'ornithorynque et Dr. Slump !
Par Champi, sur k.bd :
Après l'amour et les bêtises, K-BD vous propose d'explorer sa thématique estivale, la BD jeunesse, sous un nouvel angle : l'aventure.
Mais attention, pas n'importe laquelle : pas celle qui frappe parfois au coin de notre porte et s'achève sur le terrain vague d'à côté.
Ici, il ne s'agit rien moins que d'une aventure aux Antipodes...
Sur les traces - palmées - de l'étrange Toto l'ornithorynque.
Cliquez sur le visuel pour découvrir la chronique de Toto l'ornithorynque dans son intégralité !
Par Zorg, sur k.bd :
Suite et fin de ce mois consacré à la BD jeunesse. Un mois durant lequel toute l'équipe de K.BD aura eu le plaisir de retomber, le temps d'une lecture, dans la douceur de l'enfance.
Nous avons décidé de finir ce mois d'août avec la série qui à rendu célèbre Akira Toriyama. Car le nom de Toriyama est mondialement connu et lié au succès de Dragon Ball. Et pourtant c'est en 1980 que cet auteur à l'imagination débordante décide de créer le Docteur Slump et l'ensemble de l'univers loufoque qui entoure Aralé et ses amis.
Cliquez sur le visuel pour découvrir la chronique de Dr. Slump dans son intégralité !
Et voilà notre sélection devinette du mois prochain. De grands titres en perspective ^^
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Bon, le deuxième est facile mais les autres, je ne suis pas assez connoisseur... ^^
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C'est justement par le deuxième qu'on ouvre le bal ce mois ci
Par Lunch, sur k.bd :
En ce mois de septembre, c'est moi qui suis chargé de la thématique. J'ai donc l'honneur de vous annoncer que ce mois ne rassemblera que des œuvres majeures de la bande dessinée, puisque nous aborderons des albums primés par un Fauve d'or à Angoulême, autrefois appelé Alfred ou Alph-Art.
Et pour ouvrir la thématique, quel album serait plus approprié que Maus ? L'une des deux seules bandes dessinées auréolées deux fois d'un Alph-Art (1988 pour le T1 : Mon père saigne l'Histoire, et 1993 pour le T2 : Et c'est là que mes ennuis ont commencé) et dont l'auteur, Art Spiegelman, est désormais Grand Prix d'Angoulême et président du festival pour l'édition 2012.
Un chef d'œuvre reconnu par tous, y compris dans la critique, unanime, puisque Maus est le seul album du 9ème art à avoir obtenu le Prix Pulitzer, en 1992.
Cliquez sur le visuel pour découvrir la chronique de Maus dans son intégralité !
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Second dimanche du mois, seconde chronique. Alors, personne ne trouve les autres ?
Par Champi, sur k.bd :
Alfred, Alph'art, Fauve... A chaque période, son prix phare. Mais quel que soit le nom du trophée, le Festival International de la Bande Dessinée d'Angoulême a toujours su mettre en avant l'originalité, le talent, l'inattendu.
Après Maus, l'un des albums les plus incontournables de l'histoire de la BD, nous vous proposons une petite virée dans les Cités Obscures.
Cela fait presque 30 ans que Benoît PEETERS et François SCHUITEN ont entamé l'exploration de ce monde étrange, reflet du nôtre, Terre suspendue restée figée dans un XIX° siècle légèrement décalé.
Après leurs premiers pas en 1982, à Samaris, les deux auteurs, amis d'enfance, ont établi une cartographie précise de ce déroutant univers : Pahry, Brüsel, Alaxis, Blossfeldstad... et bien sûr Urbicande.
Cliquez sur le visuel pour découvrir la chronique de La fièvre d'Urbicande dans son intégralité !
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Tout pris que j'étais, je ne vous ai pas parlé des dernières publications de k.bd (pour ceux que ça intéresse évidemment).
Par David, sur k.bd :
Armand Corbacobasket est un humain comme vous et moi... Enfin comme vous et moi. Disons que lui porte des baskets. Ce n'est quand même pas rien. Comment ? C'est un corbeau ? Oui c'est un corbeau. Enfin, je ne vois pas ce que ça change, il a des baskets parbleu ! Si sur KBD, tout le monde commence à porter des baskets, ça va devenir n'importe quoi !
Entre nous, si ça vous pose problème qu'Armand soit un corbeau alors je vous conseille de prendre, comme lui, rendez-vous chez le Docteur Verlecorbo, éminent psychiatre qui possède tous les signes distinctifs de sa charge : entonnoir sur la tête et énorme stylo plume...
Cliquez sur le visuel pour découvrir la chronique de L'histoire du corbac aux baskets dans son intégralité !
Par Mo', sur k.bd :
Dernière halte aujourd'hui du côté des Fauves d'Or avec NonNonBâ, un album qui a retenu notre attention puisqu'il s'agit du seul manga à avoir obtenu ce Prix (toutes appellations confondues) en 2007. Au risque de vous étonner Messieurs Dames, l'arrivée en France des œuvres de Shigeru Mizuki a bien plus marqué le Jury d'Angoulême que celles de Jiro Taniguchi ou d'Osamu Tezuka ! Comme vous l'avez peut-être constaté, nous avons été soucieux de représenter les différentes décennies de ce Fauve : Les Cités obscures pour les années 1980, L'Histoire du corbac aux baskets pour les années 1990, NonNonBâ pour les années 2000. Cette décennie marque un virage dans les consécrations délivrées aux productions étrangères. Depuis la création du Prix en 1976, la distinction « Album français »/« Album étranger » disparaît pour le faire plus qu'une seule récompense « Meilleur Album ». Depuis 2000, sept lauréats sont des auteurs étrangers (Shaun Tan, Carlos Nine, Marjane Satrapi...).
Cliquez sur le visuel pour découvrir la chronique de NonNonBâ dans son intégralité !
Et pour le mois prochain, on enchaîne sur une spéciale manga : le manga autrement !
Petite session devinette ?
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1) Amer Béton, I presume
3) Mes voisins les Yamadas
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Le trait du 4 et le 5 m'évoquent quelque chose aussi... ^^
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Bien vu Kriss, c'est tout bon ^^
Personne pour le 2 ? C'est pourtant facile
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Amer Béton ! Voilà le chef d'œuvre de Matsumoto !
Par Champi, sur k.bd :
Notre mois de septembre consacré aux Fauves d'or d'Angoulême s'est achevé sur un titre fleurant bon l'étrangeté extrême-orientale : NonNonBâ, de Shigeru MIZUKI.
Un titre et un auteur dont la force première est de nous rappeler que le manga ne se résume pas à Candy et Naruto (histoire de marier les genres et les générations).
En effet, loin du style soi-disant caractéristique que les éditeurs - japonais et étrangers - ont mis en avant depuis les années 50, existent mille autres expériences graphiques et scénaristiques que le lectorat européen peut avoir du mal à trouver.
Heureusement que certains éditeurs hexagonaux ont la curiosité - et le courage éditorial ! - de regarder ailleurs que sur les grands étals japonais, et nous ramènent de plus en plus d'inclassables pépites qui nous révèlent les mille et un visages du manga : Tonkam, Delcourt, Cornélius, Le Lézard Noir, IMHO...
Cliquez sur le visuel pour découvrir la chronique de Amer Béton dans son intégralité !
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J'ai zappé quelques hits ^^
Par Champi, sur k.bd :
Qui dit « manga autrement » dit aussi « Japon autrement ». Notre mois des mangas pas comme les autres se devait donc de présenter le Japon comme rarement les mangas grand public le montrent.
Nous voilà donc cette fois-ci en route pour... la marge.
Non pas celle révélée par Yoshihiro TATSUMI, dans Une vie dans les marges, mais celle du Tokyo qui marche toujours plus vite, plus froid, plus aveugle, laissant dans son sillage les tranquilles et silencieuses ruelles des quartiers résidentiels.
Décors récurrents de bien des mangas, ces quartiers n'abritent pas seulement de paisibles retraités ou d'actives femmes au foyer : on y trouve parfois aussi des résidences comme la Résidence Dokudami.
Petit bâtiment vétuste - le mot est faible - perclus de cafards, de vermine et d'odeurs rances et persistantes, la Résidence Dokudami abrite une population hétéroclite caractérisée par la précarité : chômeurs, fugueuses, paumés s'y côtoient avec plus ou moins de bonheur et de générosité.
Cliquez sur le visuel pour découvrir la chronique du Vagabond de Tokyo dans son intégralité !
Par Badelel, sur k.bd :
"Autrement", c'est un terme qui est très vaste, puisqu'il concerne tout ce qui ne rentre pas dans une catégorie définie. Du coup on peut y rassembler des genres très très différents, et c'est justement un manga très différent de ses deux prédécesseurs que nous vous présentons cette fois.
Mes Voisins les Yamada est un manga humoristique appartenant à un genre très peu connu en France : le Yonkoma, à savoir des strips en 4 cases.
Cliquez sur le visuel pour découvrir la chronique de Mes voisins les Yamada dans son intégralité !
Par David, sur k.bd :
Lors de nos débats pour le choix des albums de notre thématique, il y a parfois des noms d'auteurs qui arrivent très naturellement. Dans la thématique du manga dit « autrement » celui de Kiriko Nananan est apparu presque immédiatement.
Dans le monde encore masculin de la BD, les femmes ne sont pas si fréquemment représentées. Si des auteurs comme Osamu Tezuka, Naoki Urasawa, Akira Toriyama ou Katsuhiro Otomo viennent rapidement à l'esprit lorsqu'on évoque le manga, leurs homologues féminines telles Ryoko Ikeda (La Rose de Versailles), Kyoko Okazaki (la créatrice du Josei avec notamment Pink) ou Ai Yazawa (Nana) ne bénéficient pas toujours de la même reconnaissance. Pourtant, elles n'en demeurent pas moins talentueuses et ont offert chacune à leur époque une approche novatrice.
Kiriko Nananan est l'héritière (et contemporaine) de cette génération de femmes mangaka.
Cliquez sur le visuel pour découvrir la chronique de Blue dans son intégralité !
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Par contre, pas d'accord sur les mini-strips en France : plusieurs séries à succès ont déjà employé ce style là, même s'il a peu remporté d’adhésion hors webcomics ces dernières années. Par contre, de l'après-guerre à il n'y a pas si longtemps (années 70-80), on trouvait encore pas mal de BD sous ce format...
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On évoquait le Yonkoma, pas le strip !
Tu n'as lu que le résumé ci-dessus je me trompe ?
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Hop Hop Hop, le dernier manga du mois nous emmène dans le monde des sourds-muets !
Par Mo', sur k.bd :
L'Orchestre des Doigts clôture notre sélection consacrée au « Manga autrement ». L'engagement de son auteur a retenu notre attention. Encore peu connu en France, Osamu Yamamoto s'est déjà fait remarquer au Japon avec Harukanaru Kôshien (1988), qui parlait de la difficulté des adolescents sourds-muets à accéder aux compétitions et équipements sportifs nationaux. En 1991, Osamu Yamamoto revient sur la question de la surdité avec L'Orchestre des doigts, un récit qui s'inspire du parcours de Kiyoshi Takahashi, défenseur de la langue des signes et de la Communauté Sourde au XXème siècle. La série s'inspire des romans de Yoriko Kawabuchi, la fille de Takahashi.
Cliquez sur le visuel pour découvrir la chronique de L'orchestre des doigts dans son intégralité !
Allez, j'en profite pour rappeler aussi qu'on a un site web sur la BD Badelel et moi.
C'est par ici que ça se passe, et depuis peu (disons deux jours ^^), nous avons un flux RSS pour vous tenir informé des nouvelles chroniques !
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Devinette ?
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Ahah, vous séchez ?
Allez, un petit pour la route, puisqu'on a ouvert le mois à thème ce matin :
Par David sur k.bd :
Petit clin d'œil malheureux à Rudyard Kipling et son merveilleux poème en guise d'introduction pour ce mois consacré aux liens familiaux. La famille c'est tout un poème, énervant parfois, essentiel bien souvent. Elle représente surtout l'enfance, le passé et la nostalgie des « dimanches à la con » comme disait Renaud, mais aussi une source d'avenir et de transmission. Bref, la famille c'est un lieu de rencontres entre les générations et par ce fait, un creuset d'histoires formidables.
Cliquez sur le visuel pour découvrir la chronique de Le fils de son père dans son intégralité !
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Toujours pas d'idées ? ^^
Ce matin, voilà que paraît la chronique de Chaque Chose de Julien Neel, l'auteur de Lou!
Par Yvan sur k.bd :
Chaque Chose est le récit d'un petit garçon qui est ravi de partir en tournée promotionnelle avec son papa magicien durant les vacances d'été. C'est également l'histoire d'un jeune père de famille qui prend le train pour se rendre au chevet de son père hospitalisé. Mais, c'est surtout un voyage autobiographique (mâtiné d'un peu de fiction) qui, tout comme Le fils de son père, s'inscrit à merveille dans le thème du mois de novembre de K.BD : la filiation !
Au milieu des nombreuses perles que compte cette collection « Bayou » des éditions Gallimard (Aya de Yopougon, Les derniers jours d'Ellis Cutting, Dimitri Bogrov, Le local, RG), Julien Neel livre donc un album dédié à son père et centré sur la relation père/fils.
Cliquez sur le visuel pour découvrir la chronique de Chaque chose dans son intégralité !
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