Vous n'êtes pas identifié.
/me applaudit très très fort.
Mesdames et Messieurs, notre premier concurrent fait un score in-croy-able de 3/4 !!!
L'un d'entre vous se sent-il de compléter ?
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C'était pas évident, bravo !
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Ce qui est incroyable, c'est surtout que Rollytroll ai posté !
Dernière modification par MJ-Belerim (05-06-2011 10:49:47)
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C'est pas faux !
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Par Champi, sur k.bd :
Houleux mois que ce mois de juin !
Après un vote acharné - car, vous ne l'imaginez sans doute pas, mais chaque thème, chaque titre que nous vous proposons est au cœur de débats passionnés et enflammés qui soulèvent émotions, passions, et parfois emportements les plus vifs ! - notre petit mois de juin devait se placer sous l'égide des « œuvres collectives ».
Mais, très vite, à partir de La Maison Close dont il sera question dans quelques lignes et qui était retenue pour ouvrir le bal, nous nous sommes rendu compte que tout cela nous conduisait, immanquablement, implacablement, à l'OuBaPo.
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eh, mais on se moque de moi dans mon dos... C'est quoi cette histoire ? Moi qui me réjouissait d'un aussi bel été propice à accueillir ma sortie d'hibernation je vais devoir envisager d'aller faire une sieste... (un petit hamac à l'ombre avec un cocktail dans la main et une bd dans l'autre).
Ah ouais, je viens de faire une recherche sur la maison close... (et entre deux ou trois trucs dégoutants) j'ai fini par tomber sur la bd en question. Et en effet, joan sfar, Angoulême, festival de bd... ça me revient (en plus c'était avec vous lunch et badelel). Il avait neigé cette année-là, non ?
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Possible... déjà il a neigé deux ans d'affilée, et en plus on a fait tellement de festivals d'Angoulême que je ne fais plus trop la différence entre les expos de telle ou telle année.
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Par Mo', sur k.bd :
La semaine dernière, Champi expliquait les fondements de l'OuBaPo, notre fil rouge pour le thème du mois de juin. Ainsi, vous avez pu lire qu' « une contrainte préalable à tout acte créatif ne peut que permettre de faire naître des œuvres inattendues et donc géniales ». Je modérerais un peu sur le « géniales » et opterais plutôt pour un « surprenantes » ! Histoire de goûts ! Mais revenons-en aux faits ! Pour présenter l'OuBaPo, nos éminents spécialistes dans l'équipe ont pensé à Cercle Vicieux. Étrange objet que voilà, surprenant par sa taille chétive (petit format), son poids plume (trente pages... pas bien lourd) et ses signes de reconnaissance aux traits disgracieux.
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Par moi-même, sur k.bd :
Le mois de l'OuBaPo se prolonge sur k.bd, avec une œuvre pour le moins singulière, puisqu'il s'agit des Sous-sols du Révolu. Un album qui s'inscrit dans la collection du célèbre Musée du Louvre (Période glaciaire, Aux heures impaires, Le ciel au-dessus du Louvre), et qui est réalisé par le non moins célèbre Marc-Antoine Mathieu (Julius Corentin Acquefacques, Dieu en personne). Scénographe de formation, l'auteur a toujours joué avec les lumières et la mise en forme dans chacune de ses bande dessinées, ce qui donne toujours un rendu surprenant.
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la dernière case, c'est "cercle vicieux" d'Etienne Lecroart, une bd bizarre, un exercice de style puisque cette bd peut être lue dans le sens normal ou en commençant par la dernière case et en remontant. Ouaip, certains auteurs sont vraiment tordus !
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Blanche a écrit:
la dernière case, c'est "cercle vicieux" d'Etienne Lecroart, une bd bizarre, un exercice de style puisque cette bd peut être lue dans le sens normal ou en commençant par la dernière case et en remontant. Ouaip, certains auteurs sont vraiment tordus !
En même temps, le thème, c'était l'OuBaPo, alors oui, forcément, dès fois, c'est *un peu* bizarre ^^
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Petit jeu du mois, saurez-vous deviner nos lectures sur la Mooooort...
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Numéro 2 : "ma maman (est en Amérique et elle a rencontré Buffalo Bill)" d'Émilie Bravo
Numéro 3 : "Dix de Der" de Comès (celle là je l'ai pas lu)
Numéro 4 : "jolies ténèbres" de Velhmann (très bien, mais alors que c'est glauque !)
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Que des bonnes réponses
Jolies Ténèbres, moi j'adore
La n°1 est en ligne sur k.bd depuis ce matin :
Par Yvan, sur k.bd :
Alors que c’est généralement la bonne humeur qui règne en cette période estivale, k.bd a cependant choisi d’aborder un thème assez lourd en ce mois de juillet. Au risque de plomber l’ambiance, c’est donc la mort qui accompagnera nos lectures et comme celle-ci ne frappe habituellement qu’une seule fois, ce sont des one-shots abordant le sujet qui vous seront proposés. Si la mort a tendance à angoisser certaines personnes, le thème s’avère néanmoins aussi fascinant qu’universel et est très souvent utilisé comme matière première de nombreuses créations artistiques.
Parmi les nombreux choix possibles, c’est L’accablante apathie des dimanches à rosbif qui ouvre donc ce bal morbide. Si le titre de cet album n’est pas particulièrement alléchant, avouez tout de même qu’il est suffisamment intriguant pour qu’on ait envie de savoir de quoi ça parle.
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Avec un peu de retard dans la publicité :
Par moi-même, sur k.bd :
Prendre la rédaction d'un article sur k.bd, c'est bien entendu un exercice périlleux - surtout si comme moi, vous trouvez que l'école et les synthèses sont loin. Mais c'est surtout un intense sentiment de délectation, pour la simple et bonne raison qu'on est rarement assigné à ce travail. Non, on se porte volontaire, généralement parce qu'on adore l'album en question.
Jolies ténèbres, c'est ce genre de bande dessinée qui provoque, qui suscite des avis divergents, qui heurte la sensibilité des plus farouches et qui émoustille la verve des plus passionnés. Certains adoreront, d'autres détesteront. La demi-mesure est rare quand sonne l'heure du verdict, les qualificatifs claquent, bruts et sans retenue. Sous cette magnifique parure se cache un conte morbide, âmes sensibles s'abstenir !
Cliquez sur le visuel pour découvrir la chronique de Jolies ténèbres dans son intégralité !
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Par Mo', sur k.bd :
Pour construire ce thème sur la Mort en one-shot, Comès s'est démarqué presque comme une évidence ou du moins Dix de Der.
Petit retour sur la carrière de Didier Comès qu'il entame dans les années 1970 en publiant dans divers magazines de bande dessinée. Son premier album paraît en 1974 et ouvre le diptyque d'Ergun l'Errant qu'il ne refermera que 7 ans plus tard. Entre temps, Comès a jeté les bases de l'œuvre qui le consacrera parmi les auteurs émérites de sa génération : Silence. Cet ouvrage, récompensé par le Fauve d'Or à Angoulême en 1981, le révèle au grand public. Avec lui, Comès opte définitivement pour une empreinte artistique qu'il ne quittera plus par la suite : des univers à forts contrastes via un jeu d'ombre et de lumière excluant totalement l'utilisation de la couleur, des chroniques sociales dépeignant un monde rural et ses carcans sociaux bâtis à grands renforts de peurs, de superstitions et d'hypocrisies. S'en suivent quelques albums dans les années 1980 dont La Belette (récompensé en 1983 par le Prix Saint-Michel), mais Comès a déjà amorcé sa mise en retrait, moins prolifique d'année en année. Seuls deux albums verront le jour dans les années 1990, Iris et La maison où rêvent les arbres, puis Les larmes du tigre en 2000. En 2006, Dix de Der marque donc un retour attendu de l'auteur après 6 ans de silence... 26 ans après Silence.
Cliquez sur le visuel pour découvrir la chronique de Dix de Der dans son intégralité !
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Les deux derniers du mois (j'ai oublié de vous parler du Winshluss de la semaine dernière) :
Par David, sur k.bd :
Welcome to the death club !
Bienvenus Messieurs et Mesdames ! Entrez, entrez et installez-vous confortablement ! Oui comme ça ! Le Death Club est ouvert à tous ! En 2002, nous étions installés chez 6 pieds sous terre mais depuis, nous avons déménagé chez Cornelius avec des locaux plus grands et de nouvelles attractions. Ici pas de portes qui claquent en fonction de votre faciès ou de votre porte-monnaie, c’est un club où l’égalité règne car maître Winshluss mène la danse et offre un grand spectacle composé de numéros variés mais avec un seul et unique sujet…
Cliquez sur le visuel pour découvrir la chronique de Welcome to the death club dans son intégralité !
Par Yvan, sur k.bd :
Après avoir mis la mort à toutes les sauces, il est temps de tirer une dernière révérence à la grande faucheuse, tout en préparant déjà le terrain pour le thème du mois d’août. Voici donc venu le temps des rires et des chants, des enfants heureux et des monstres gentils, un pays joyeux où, le temps d’un dernier récit, il nous faudra cependant peupler une dernière fois le paradis…
Tout débute le lundi 14 septembre 1970. Pour Jean (Regnaud), c'est le premier jour à l'école des grands. Il a à peine le temps de découvrir ses nouveaux camarades, que vient déjà le moment particulièrement angoissant des présentations. Lorsque la maîtresse veut connaître la profession de leurs parents, il perd rapidement ses mots, devient tout rouge, étouffe de chaleur et a les oreilles qui bourdonnent. Malgré l’affolement, il parvient tout de même à bredouiller quelque chose qui passe inaperçu. Ouf, personne ne s'est rendu compte qu'il ne savait pas très bien où était sa maman...
Cliquez sur le visuel pour découvrir la chronique de Ma maman est en Amérique, elle a rencontré Buffalo Bill dans son intégralité !
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Qui pour un petit quiz ?
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2 & 4 sans aucun souci !
Les deux autres par contre...
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Le 2, effectivement, mais les autres... J'suis plus jeune (
Par contre j'suis déçu qu'il n'y ait pas l'excellente adaptation du "vent dans les saules" de Plessix
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Oui, difficile de construire une thématique. Il y a parfois pleins d'albums qu'on a envie de voir dedans et pourtant il ne faut en retenir que 4 (ou 5 selon les mois), tout en faisant bien attention à varier les genres.
Là c'est Badelel qui a construit le thème, elle voulait des albums jeunesse mais aussi un regard neuf, revenir en enfance. Il fallait aussi une certaine progression dans le voyage : la jeunesse c'est très large, le public va du très jeune à l'adolescence.
Pour le coup, le conte de Kenneth Grahame ne correspondait pas à l'humeur du moment et à ce qu'elle recherchait vraiment. Mais nous sommes tous d'accord pour dire que cette série dessinée par Michel Plessix est une merveille !
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Ho ! Andrade, tu me déçois !
Allez : un indice : le véritable héros de la série est le personnage dans la voiture, derrière Arale...
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Ouais enfin Arale est quand même l'héroïne aussi, du moins elle partage le premier rôle je crois
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Oui mais elle n'a pas le titre de l'album
Quant à Plessix, le vent dans les saules a mille et une occasion d'être présenté (d'ailleurs il est déjà revenu plusieurs fois sur le tapis), je ne me fais pas d'illusions, il finira par passer à un moment ou à un autre.
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