Vous n'êtes pas identifié.
Momo avait rejoint un compagnon à l'extérieur pour y récupérer quelques carcasses à revendre. S'étant fait encerclé sur la route du retour, il rata donc le tournoi. Pas ses conséquences.
Les abords de Belerim grouillaient de soldats belerins et antoniens, et il ne fallut à Momo pas plus de quelques minutes pour évaluer la situation. La guerre était déclarée. Et de façon absurde, bien sur. N'importe qui pouvait sentir le piège, avec suffisamment de recul. Mais prendre du recul n'était pas toujours le point fort de Trex 1er, aussi allait-il falloir l'aider. Et ce d'autant plus vite que les capacités de survie de Momo avec des soldats ennemis plein la ville étaient extrêmement réduites!
Il paraitrait que Wormir aurait un début d'explication, Momo allait peut-être le contacter...
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RRRRrrrhhhhAAAAAAAAA s'écria Skrupûle.
Mais qu'es ce que c'est que ce bordel, on ne peut plus dormir tranquillement maintenant ?
D'un geste mécanique il attrapa le polochon et le plaqua contre sa tête, un étau de douceur sensé apaiser son cerveau baigné dans les volutes acides et corrosives de la soirée arrosée de la veille.
Après quelques tentatives, le guerrier à la bouche pâteuse se résigna a se lever et a aller " foutre une bonne branlée à ces boulets qui osent faire autant de bruit à .... " ah oui mais au fait quelle heure est-il ?
Le volet le résista pas au coup de coude et dans un arc de cercle alla s'écraser contre le mur dans un bruit de fracas, un rapide coup d'oeuil au clocher lui fit remonter quelques scrupules concernant l'état de sa mémoire.
Ah oui quand même ... 19h ... mais qu'es ce que j'ai bien pu foutre hier soir pour avoir autant la tête dans le c$#@ !
Dans un éclair le mal de crane et le doute laissèrent place à l'étonnement, ses réflexes prirent le dessus sur son esprit et dans un mouvement acrobatique il se retrouva le dos plaqué contre le mur a coté du chambranle de la fenêtre, le regard de biais en direction de la rue.
Des soldats d'Anton ... lourdement armés en plus ... mais qu'es ce que cela signifie ....
Skrupûle entendit le chef de peloton donner un ordre à 2 militaires tout en, montrant du doigt le volet fracassé à quelques centimètres de sa tête.
Ne se doutant pas que son geste colérique allait provoquer un affrontement de bon matin ... heu .... disons plutôt au réveil; Le guerrier attrapa un bouteille dans laquelle il restait un peu moins de la moitié de son contenu et la vida d'un trait.
C'est partiiiiiit !!!!!!
Pif Paf pouf , quelques secondes plus tard il ne restait pas grand chose des soldats, et Skrupûle courrait déjà sur les toits en direction de L'auberge du STOMY grincheux dans laquelle ses compagnons s'attendraient surement.
Dernière modification par Skrupûle (18-08-2009 09:40:39)
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Kain avait erré jusqu'au fond du Grand Hall et avait trouvé plusieurs portes fermées, qui n'avait pas bougé d'un pouce malgré ses efforts. Mais, au détour d'un couloir, il était tombé sur un personnage bien savoureux: Hanley, garde du chateau, qui contrairement à ses confrères avait envie de tailler une bavette avec lui.
Celui-ci lui expliqua ce qui venait d'arriver et lui dit la phrase suivante:
"Vous savez, le prince n'était pas tout seul quand il a été à l'armurerie."
Par toutes les étoiles de toutes les constellations, Kain aurait juré qu'il cachait quelque chose. Discrétement le garde lui fit signe qu'il serait sensible à quelques deniers pour continuer la conversation.
"Vous savez, c'est pas si bien payé que ça d'être garde... " murmura-t-il.
Les sommes demandées étaient ahurissantes! Kain n'était pas riche, hélas, mais il décida de glisser, en ronchonnant intérieurement, une grosse bourse bien épaisse de 50 deniers, qui était le minimum éxigé par le voyou en armure:
"Merci. Le prince était accompagné d'un marchand à l'air louche quand il s'est rendu à l'armurerie, il se pourrait même que ce soit quelqu'un d'important."
Réponse évasive s'il en était, mais visiblement le garde voulait plus de sous. Des sous, où en trouver?
Kain avait croisé des Belerins au palais, Wormir et Ferret, qui ne lui avait pas tourné la froide épaule de leurs concitoyens. Il se décida à envoyer un holoring, ca allait couter cher de faire parler Hanley....
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Maruk était avec ses potes Marie-jeanne, Moustrik et BGV quand il assista aux déboires du tournoi.
L'oeil vif, il avait bien constaté que le prince Gaïus avait eu une réaction étrange. Mais que faire ? Déjà la foule s'empressait, la pression montait, les combats commençaient...
Qui plus est, avec Marie-jeanne qui vociférait "à mort les belerinois", Moustrik qui en voulait à la jupe de la princesse, et BGV qu'avait comme d'habitude le regard vide et globuleux, il était difficile de réfléchir correctement...
Mais quand il se retrouva pris entre pas moins d'une dizaine de miliciens de Belerim et quelques habitants de cette même cité, son sang n'a fait qu'un tour. "C'est eux ou nous !" Le combat commença, et déjà Vic et Syrus Raknaryne tombèrent sous les coups rapides et précis du groupe d'Antoniens.
Dernière modification par Maruk (18-08-2009 10:39:23)
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Lyraa n'en croyait pas ses yeux, des millitaires de partout, elle les trouvait beau dans leurs armures brillantes. Elle n'eut qu'à peine le temps de révasser que déjà des soldats d'anton lui sautèrent dessus, elle tenta d'expliquer qu'elle n'y était pour rien mais rien à faire les soldats commençaient à la ruer de coups. Ne pouvant fuir elle combattrait donc contre eux. Lyraa savait qu'elle ne ferait pas le poids. Elle cherchait donc une solution pacifique à ce conflit, c'est ainsi que discutant avec sa coterie, ils décidèrent de trouver Katastrophès afin qu'il mette fin à cette guerre stupide, qui de toute évidence avait été menée par un être malsain...
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Au cours de la nuit tombée si vite après le tournoi, un homme d'âge mûr attrapa Lamia par le poignet, comme pour la tirer hors de danger :
- La folie gagne la ville ! Vic, de la Garde, vient de se faire mettre à terre !
A la demoiselle de ne bouger, tenant à son tour son interlocuteur par un tour de poignet :
- Comment ça ?
- Une archère arrivée d'Anton, près de l'aéroport ! Elle se gaussait de cet acte ! Elle semble en vouloir auprès de tout bélérin.
" Vic ? Le Vic ? (certains prononcent, à tord, L'oeuf Vic, mais Louis doit leur faire défaut ! ... comment ça l'ouïe ?)
Fureur, vengeance, et compagnie ne font pas bon ménage lorsqu'il s'agit d'éclairer une situation trouble.
Il est temps de calmer les ardeurs des plus béliqueux et de raisonner ceux qui en sont capables."
La demoiselle empoigna sa robe, la souleva, et commença quelques pas de courses vers l'Ouest, direction du point de chute des aéronefs.
- Vous êtes folle ! Laissez les soldats mettre un terme à tout ceci !
La voix se faisait déjà presque inaudible.
Au cours de la nuit, Lamia, encapuchonnée, tomba sur Marie-Jeanne. Cette dernière fuyante, la journée se déroula en course poursuite.
Et là, notre protagoniste (la mienne tout du moins) se trouva essouflée nez à nez avec une bande de voleurs, et parmis eux, l'archère recherchée.
Et déjà, des Soldats de Belerim et d'Anton lançaient les assauts.
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Ronce n'avait pu se glisser dans les arènes pour le tournoi aussi s'était-il contenté de se promener de par la ville, dressant un plan succinct qui pourrait toujours servir plus tard.
Il n'avait pas rencontré beaucoup de Floraliens jusqu'à présent mais plutôt nombre de figures patibulaires. Il avait même cru reconnaitre certains visages de bandits connus et était passé au large, s'esquivant dans les ruelles.
Soudain, une grande rumeur enfla à travers la ville qui se mit à grouiller comme une fourmilière ébouillantée ! Que ce passait-il ? Un incendie ?
En interrogeant quelques passants, le jeune archer comprit par bribes que le Prince Gaius avait blessé le prince d'Anton, qu'il y aurait eu tricherie, une sombre histoire de bras qui bouge tout seul, que la guerre était déclarée ou presque et que déjà des soldats et des citoyens des deux camps en venaient au main, aux armes, sans distinction aucune.
Sur ce, des soldats apparurent, se jetèrent les uns contre les autres, frappant à tour de bras tout ce qui se trouvait là et Ronce s'éclipsa avant qu'on lui demande trop vigoureusement d'où il était et pour qui il était. Après tout, ce n'était pas sa guerre !
Il contacta après sa coterie pour savoir quelle attitude adopter. Là encore, les nouvelles n'étaient pas bonnes ! Ashe Magnus avait été pris à parti par de soldats de Bellerim et Lyraa par des soldats d'Anton. On parlait de contacter Katastrophès pour qu'il serve de Médiateur mais nul ne savait où il se trouvait. Si ce dernier avait réagit comme lors de l'invasion des pestules, il allait falloir fouiller toutes les commodes et les armoires !
Les Alchimistes parlaient également de chercher à comprendre ce qu'il s'était passé, d'où venait la magie dont nombre de témoins assurait qu'elle avait contraint le Prince Gaius à blesser son homologue.
Ronce retrouva Lyphanie et une jeune rôdeuse nommée Eolia près de la boutique de l'apothicaire et posa la question : à qui profite le crime ?
Puis il se demanda dans sa tête : où est la femme ?
Dernière modification par Ronce (18-08-2009 13:17:03)
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LeRige n'arrivait pas a le croire, à peine quelques frappes échangées et le soldat d anton fuyait
Qui sont ses soldats ? S ils sont tous du même acabit, notre milice et la garde franche en viendra vite à bout et ces chiens galeux allaient payer leur traitrise au prix fort
Eh l antonien attend un peu on a un combat a finir, t es un homme ou un lapin ?
Tu peux toujours courir je connais cette ville comme ma poche, t as aucune chance
et sans réfléchir un instant, LeRige se mit a poursuivre le soldat
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Arka secouait la tête.
Il ne voulait pas de cette guerre, encore moins y participer.
Il était venu de loin pour assister à ce spectacle dont on avait entendu parler dans tout Stella.
Dès que la rumeur éclata en ville, Arka partit en quête d'un moyen de rétablir la paix.
Il évita soigneusement les gardes d'Anton.
En chemin il tomba sur la maison d'une infirmière.
"Pourquoi pas ? Si nous réussissons à soigner cette blessure au visage, peut-être que le calme pourra être ramené."
Il frappa à la porte et pénétra à l'intérieur de la maison dont le décoration était sobre.
Les étagères regorgaient de vieux livres.
Il vit l'infirmière dans la pièce voisine, elle semblait préoccupée...
Il s'avança vers elle et entama la conversation.
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Kiko était arrivé à Belerim avec Nirlin. Comme à leur habitude, elles voyageaient ensemble. Comme convenue avec leur amis elles les attendirent à l'aéroport. Marie-Jeanne, Maruk, Moustrik et BGV ne tardèrent pas à arriver et disparaître comme à leurs habitudes. Alala cette bande de garnements, jamais ils ne tenaient en place !
Ils avaient du aller vite voir le tournois. Ils adoraient se battre ! Nirlin et Kiko allèrent donc voir ce tournois à leur rythme ... ou plutôt à celui de Kiko. Car Nirlin en galante chevalier aimait prendre soin de la marchande en se calant sur son rythme, en l'accompagnant à travers les ruelles de la citadelle. Mais elles arrivèrent à temps au tournois pour voir la fin tragique du combat !
Et la cohue qui s'en suivit ne leur permirent pas de rejoindre leurs amis. Voyant des gardes belerins s'approchaient dangereusement d'elles, Nirlin s'avança vers eux pour protéger la marchande. Kiko était perdue, stupéfaite de la tournure des évènements !
Une main l'attrappa et la tira vers le nord. Au même moment Kiko sentit la lame d'un soldat s'abattre sur son autre bras. Un jeune archer l'entraina un peu plus à l'abris où ils furent rejoins par Nirlin et un soldat. Les 3 jeunes antoniens se préparent pour l'affronter.
- Nirlin, je ne comprends rien ! Belerim nous invite et maintenant ils nous attaquent ! Ce jeune homme vient de me sauver ! Merci. Moi c'est Kiko, marchande et voici ma grande amie Nirlin !
"Nirlin oui je connais, vous etes celle qui a débarrassé Anton des Pustules, on s'est déjà croisé par chez nous, pareil pour vous Kiko.
Je suis Tobias."
Le jeune archer regarde vers le sud en secouant la tête.
"Je sais pas trop ce qui se passe, le combat entre les princes a mal tourné et les choses chauffent pour nous, la guerre couve ça va surement mal finir. Il faut qu'on rejoigne d'autres compatriotes, ou qu'on se fasse petit."
Il commence à faire tournoyer sa fronde et il envoie une bille vers le soldat non loin.
- Nous avons 4 amis que nous avons perdus dans la cohue ... je ne m'inquiète pas pour eux car ce sont des garnements qui savent parfaitement se défendre, ayant l'art de se mettre dans des situations pas possibles. Peut être pourrions nous essayer de les rejoindre.
Je ne sers pas à grand chose en combat. Je n'arrive même pas à embrouiller correctement. Mais j'ai appris l'art de soigner auprès d'un ami alchimiste. N'hésitez pas à me montrer vos plaies si vous en avez, je ferai de mon mieux !
Dernière modification par Kiko (18-08-2009 13:39:08)
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Le jeune voleur s'éloigna des zones de combat.
Et vas-y que je charcute, que j'étripe, que j'lacère....... pfff.... pas pour moi merci.
J'vais me trouver un endroit plus calme.
La, ça a l'air mieux. Cette vieille bicoque fera l'affaire, malgré l'odeur..... bizarre, ça sent comme chez le Tanneur dis donc...
Allez, j'y rentre....Ah oui, ça a l'air d'être la baraque du tanneur, y'a même un établis. Il a pas l'air bien riche.
Et....oulah ! c'est quoi cette bête ? Une chèvre, ici ? Et ça, un rat, aussi gros ? Qu'est-ce qu'ils fou$#&§ dans cette maison ?
Faut qu'je sorte, vite !
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Pour Ronce, la question de à qui profite le crime se résolvait vite : la guerre profite aux nobles, jamais aux petites gens qui ont déjà assez de mal à survivre comme ça!
Encore fallait-il trouver à quel noble cela profitait ! Et, pour cela, quel meilleur endroit pour commencer une enquête que le Palais ?
Eolia suivant, elle, une piste dans une luxueuse demeure, Ronce se glissa en compagnie de Lyphanie dans le Palais.
Malheureusement, il se heurta bien vite à un garde bouché du nom de Ruben qui s'enquit de sa présence, certes incongrue, en ces lieux. Le jeune archer tenta bien d'engager la conversation mais à part beugler de dégager, rien à en tirer ! Enfin, peut-être que si ... mais... mais Ronce décida que torturer un garde au milieu du hall du Palais, même en pleine nuit, ce serait pas très discret.
Aussi se faufila-t-il derrière un grand guerrier, Kormoch ou Kordoch, et se glissa-t-il le long des murs pour explorer plus à sa guise le bâtiment.
Mais où était donc passé Lyphanie ?
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Perdue dans Belerim, assise dans l'herbe, Akita n'en revenait pas du nombre de traces de pas au sol dans cette ville. Impossible de distinguer et de pister quiconque, l'afflux de citoyens des quatre coins d'Arkhan vers Belerim était impressionnant.
C'est alors qu'elle fut mise au courant : le gardien du temple de Fenrir, Syrus Raknaryne, avait été roué de coups et mis dans le coma par une bande de vauriens. Il s'agissait pourtant d'un des plus puissants guerriers de la théocratie de Stella. Akita n'en revenait pas.
Elle sentait son sang bouillonner dans ses veines, tout son corps s'était contracté d'un seul coup. Elle était furieuse, un sentiment de haine l'envahit.
A suivre ses pulsions, elle se serait mise en quête d'identifier, pister, trouver, torturer pour enfin tuer la bande de déchets sur pattes qui avaient osé s'en prendre à l'un des siens. Sa bravoure aveugle n'avait d'égal que sa soif de vengeance totalement démesurée. Elle était comme ça, on ne devait pas toucher ses amis.
Mais elle avait changé, en tout cas elle essayait.. Depuis qu'elle avait rejoint le temple de l'hippogriffe en tant que disciple, elle tâchait de se raisonner, de relativiser les choses. Les gardiens des temples de Stella y étaient pour beaucoup.
Et surtout, deux grandes cités d'Arkhan rentraient en guerre alors qu'elles devaient se retrouver pour un prestigieux tournoi en toute amitié. Les stellesi présents, venus développer les rapports diplomatiques avec Anton et Belerim, étaient pris à parti par les armées des deux villes maintenant, qui ne se préoccupaient plus de faire la distinction des uns et des autres. C'était le monde à l'envers.
Akita se dressa sur ses deux jambes robustes et poilues. Elle scruta son environnement qui évoluait rapidement, avec un point de vue à 1m93, on voit toujours mieux.
De nombreux militaires, des gardiens de Belerim et quelques soldats d'Anton, circulaient autour d'elle, sans s'arrêter pour lui chercher querelle.
Comme elle avait fait ses armes en s'enrôlant dans l'armée de Stella quelques années plus tôt, elle connaissait bien le fonctionnement cérébral de ce genre de guerrier (écervelé). C'était d'ailleurs une des raisons de sa démission.
Le premier militaire qui me gonfle, je le casse. S'il rapplique avec ses potes, je me casse.
Elle avait confiance, on ne l'embêterait pas, on n'a pas idée de chercher des noises à une jeune fille frêle de 110 kilos de toute manière.
Bon résumons : c'est le foutoir.
Mes potes se font tabasser, ok.
L'intégralité des citoyens présents se fait tabasser, ok.
Réfléchissons... Messire Fankia voudra sûrement qu'on se la joue diplomate, faire bon chic bon genre, encore que, comment réagira-t-il à tout ça..
Bon y a un prince dans l'coltard, ces nazes de médecins de Belerim sont pas foutus d'le guérir. Genre il est victime d'une attaque magique, pfffff... Moi quand j'chasse le cerf et qu'il disparaît en moins de deux, c'est pas magique peut être ? Il est toujours en vie et en bonne santé lui, flûte alors, ras l'bol d'leurs conneries.
Bon, j'vais contacter Myst du temple du Basilic, s'il peut se déplacer ou envoyer un disciple pour demander à rencontrer le prince Alvin, qu'il se fasse sa propre opinion sur l'égratignure qui fait chouinner la chochotte.
Quant au responsable de ce bazar, c'est une autre histoire pour lui mettre la main dessus. Akita se mit en quêtes d'indices.
Dernière modification par Akita Zogzog (18-08-2009 17:31:00)
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Ah les traitres !! Ils s'en sortirons pas comme ça ! Nous nous battrons jusqu'à la fin ! Votre nombre ne vous sauvera pas dit-elle en voyant les 6 militaires s'approcher suivit des plus fort citoyen de Belerim. La vérité vous fait peur, et votre aveuglement causera votre perte !
Ecoutez moi, votre royauté est corrompue ! Elle use d'arme interdite pour arriver à ses fins ! Joignez-vous à nous, et vous serez libre de leur traîtrise !!
Mais visiblement les citoyen du coin ne l'entendait pas de cette oreille et ce fut l'avalanche de coup. Marie-Jeanne tomba, inconsciente. Mais son fantôme resta, soutenue par quelque vertus inconnues des herbes qu'elle aimait tant.
Toi Lamia, toi OdL et toi Umaro, je vous maudit et je vous hanterai jusqu'à ce que votre sang lave l'affront Suprême !!!!
Dernière modification par Marie-Jeanne (18-08-2009 15:01:54)
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Vic se réveilla dans une roulotte aux abords de Belerim.
Il enclencha son holoring pour prévenir ses camarades de la Garde Franche.
Une certaine Marie-Jeanne, oui... Son pote Arkhandier, son autre pote Céhoolanim, et son dernier pote Maruk.
...
Non, je vais me reposer un peu...
...
Oui, à dans quelque temps.
Une demi-heure plus tard, Marie-Jeanne et Arkhandier (Moustrik de son vrai nom) étaient dans le coma, et Maruk et Céhoolanim avaient fui. Mais la Garde Franche était dans toute la ville et ne tarderait pas à les retrouver...
Vic se rendormit, l'esprit plus serein.
Dernière modification par Vic (18-08-2009 15:02:04)
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Ronce se faufilait le long des murs. Diantre, que ce hall était grand !
A un moment, il fit une pause dans un recoin et eut le plaisir d'être rejoint par Van Talis. Marrant comme palais, on entre avec Lyphanie et on se retrouve avec Van Talis. De la magie ?
Ronce réfléchit un instant pendant que son camarade reprenait son souffle. Comment expliquer leur présence si jamais ils se faisaient attraper ? Il fallait un truc énorme, un truc tellement gros qu'on les foutrait à la porte en rigolant de leur naïveté. Ah mais bien sûr ! La princesse ! Ronce serait l'amoureux gaga, complètement à côté de la plaque et Van le bon copain qui essaye de l'empêcher de se mettre trop dans les emmerdes.
Ronce expliqua son plan et le testa de suite. En effet, une jeune femme passait justement par là, longeant elle aussi les murs avec précaution et Ronce essaya d'attirer son attention sans trop attirer l'attention.
"Heuu, bonjour,
Non, non, pas si fort, chut voyons !
Vous allez peut-être pouvoir me renseigner ? Voilà, je suis à la recherche de la chambre de la princesse Bren. Elle est si belle !
Je sais bien que les princesses c'est pas pour moi mais... Mais j'ai profité, dans un moment d'égarement, de la confusion ambiante pour cueillir une rose dans les jardins et j'aimerais la déposer devant sa chambre, en gage d'amour courtois.
Vous pouvez comprendre cela ?
Je sais, c'est tellement ridicule mais j'aimerais tellement ....
Vous pouvez m'aider ?"
Nadriril est en train de raser le mur, tranquillement. De temps à autre elle lance un "Kordoch, je suis làààà youhouuu !" bien fort qui résonne dans le hall immense. Elle regarde son ring surprise.
"Bonjour !
Et bien heuuu... Je dois t'avouer que je ne sais pas où elle est cette princesse. Quelque part dans le château. Si tu veux, tu peux aider la Garde Franche à explorer l'endroit ! C'est que c'est grand et faut qu'on comprenne vite ce qui se passe et tout..."
Elle bat des cils et soudain sur le ton de la confidence.
"Mais te fais pas avoir par les beaux airs de sainte-nitouche des filles comme elle. A Bélérim c'est 'aaach'ment souvent de belles roulures ces filles.
En plus elle serait câârrément du genre à loucher sur le trône !
Alors fait gaffe si tu veux sortir avec elle, oublie pas d'être bien ferme, sinon elle te mangera tout cru !"
Elle regarde autour d'elle.
"Bon sinon moi j'te propose on observe bien fort, si tu trouves des portes ou si j'en trouve on se le dis et puis euuh Kordo~och nous aidera !" Sa voix a fait un trémolo de midinette et elle se trémousse. "On devrait trouver ta belle princesse vite fait hihi !"
Dernière modification par Ronce (19-08-2009 14:32:34)
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Moustrik se réveil d'un coma douloureux...il se souviens avoir esquivé le coup d'un certain ODL puis le noir. Surement un coup aussi puissant que chanceux derrière la nuque. Les traitres n'ont même pas eu l'inélégance de laisser un petit mot à leur victime.
Nan j'voulais pas me réveiller, j'étais si bien dans le corps de ma jolie Bren..
Et voilà l'histoire de Moustrik dans cette guerre déséquilibrée et malheureusement courue d'avance s'achève tristement, à partir de maintenant il sait qu'il devra certainement se contenter de plaisir solitaires..
Oh bah tiens Vic !!
La vie peu heureusement peux offrir bien des sortes de plaisirs solitaires
Dernière modification par Moustrik (18-08-2009 17:25:37)
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Pour une fois, les quelques Floraliens en ville avaient réussi à s'organiser et vite.. Et ça, ca avait de quoi impressionner Eolia qui s'était toujours moqué de ses concitoyens sur ce point. D'ailleurs, Eolia avait rapidement pu trouver des gens sur qui compter, et qui l'informait bien. Avoir de la compagnie et du soutien était rassurant pour elle, qui avait eu un coup de panique quand tout avait commencé. Elle s'était même surprise à parler avec des inconnus! Et calmement qui plus est! Enfin.. Plus ou moins calmement..
Les idées fusaient, mais dans l'esprit d'Eolia, ce qu'il fallait faire le plus vite, c'était contacter le doyen, ce sale froussard, qu'il prenne une décision puisqu'il était là! Et puis.. Elle était même prête à lui porter secours au vieux Katastrophès si il avait besoin d'aide.. Tout ce qu'il fallait c'est qu'il rétablisse un semblant de calme dans la ville, pour qu'une explication ai lieux entre les deux familles royales.
Ayant fait une petite patrouille pour vérifier qu'il n'y avait aucun danger dans le secteur, elle repéra une grande et luxueuse demeure.. Ouverte!
Merde, c'est quoi cette baraque?! Et personne autour ou dedans?
Ce n'était pas dans ses habitudes, mais si il pouvait y avoir un lieu calme alors que la ville était à feu et à sang, Eolia n'allait pas s'en priver. "Calligus Roaney" Voilà ce qui était inscrit sur une plaque près de la vaste porte d'entrée. Et le hall était sompteux! Mais personne en vue! Après un rapide tour dans le hall et dans le jardin, où trônait une magnifique fontaine, Eolia ne savait que faire, mais le lieux était très étrange. Près de la chambre du "seigneur" Calligus, se trouvait son bureau. Le sieur était riche, ça s'était certain.. Et bien assez pour.. Déclencher une guerre. La magie, en plein milieu du Grand tournoi, à Bélérim.. Ça puait les intrigues politiques! Et le tas de cendres à côté du bureau également.. Et il y avait ce somptueux coffre d'or également. C'était pas son genre, mais Eolia creuvait d'envie de fouiller tout ce fatras, malheureusement, comment faire? Elle n'avait jamais fait quoique ce soit de ce genre auparavant.. Et à première vue, dans le petit groupe des Floraliens, personne ne semblait en mesure de l'aider pour découvrir ce qui se tramait dans la maison. Pas de bons prospecteurs..
Eolia allait devoir tenter autre chose.. Et si rien ne marchait, elle irait voir ailleurs. Rester seule trop longtemps, ça risquait d'être dangereux..
Dernière modification par Eolia (18-08-2009 17:29:54)
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Qâ et Masch arrivaient vers Bélérim la fleur entre les dents. Leur chasse au bestiaux avait été fructueuse et ils avaient envie de faire plein de bisous à tout le monde - ils avaient aussi reçu par holoring, la nouvelle de la mort de Vic : pour ça, ils laisseraient un instant de côté les bisous. En arrivant aux abords de la grande cité, Qâ vit une jeune femme aux formes rebondies ...
- Wa !! quelle beauté !!!!! faut vraiment que j'aille lui faire un gros poutou à elle !!! Il se cracha dans les main et se nettoya tant bien que mal son visage plein de boue. Pis, il s'approcha d'elle et sans même lui laisser le temps de se présenter, l'enlaça fougueusement ...
Seulement voilà, il se produisit un événement très étonnant !! La jeune femme disparut et la bouche de Qâ ne dut se contenter que du vent... Pauvre, pauvre Qâ !!! Le voilà tout triste à présent !! Les effusions d'amour, c'est pas toujours payant !
Quelques minutes de larmes plus tard, il réussit à se consoler en se disant qu'il restait plein de gens à bisouiller. La paix et l'amour triompheraient !!! Masch et Qâ avaient plein de calins à prodiguer !!
Dernière modification par Qâ (18-08-2009 17:34:13)
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Kriss s'était endormi après son arrivée dans un coin tranquille. Enfin, endormi de telle manière qu'une poussière tombant sur le sol le réveillait.
Quand il entendit les clameurs et les cris, il bondit sur ses pieds. Que se passait-il ?
Et quand il vit un soldat de Belerim excité et prêt au combat qui se dirigeait droit vers lui, il eut peur. Fuir ? Mais où ? Il ne connaissait pas cette ville ! Pris de panique, il lança des cailloux avec sa fronde. Le soldat s'écroula. Bien que terrifié, il avait fait mouche. Que faire maintenant ? En voyant le cadavre, il trouva une lettre d'affectation. Peut-être qu'il pourrait l'utiliser pour s'enfuir... Il prit soin de la garder précieusement avec lui.
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LeRige poursuivait le soldat d Anton a travers les ruelles de Belerim, c est qu il courrait vite le bougre malgré son armure, mais LeRige attendait que le soldat fasse une erreur ce qui ne tarda pas.
LeRige s'engagea dans une autre ruelle et se retrouva bientôt fasse a l antonien
Alors comme ca tu pensais m échapper ?
Finissons ce que nous avons commencé
à peine LeRige avait il levé son épée que le soldat faisait déjà demi tour près a fuir à nouveau
Puisque tu ne veux pas voir la mort en face, recois mon épée d Anton dos
LeRige abatit son épée et le garde du même geste, puis très fier de sa blague a 2 deniers il se dit qu'il faudrait qu'il la replace à la pestule éclatée pour faire rire les membres de la garde franche
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Moustrik! Salaud, tu vas voir ta arhhh...
La douleur empêchait encore le vieil archer de faire des mouvements brusques, et a fortiori de mettre son poing dans la figure de son interlocuteur.
Tant pis, il lui reste sa langue.
Kof kof... Alors ça, t'as pas tardé à me rejoindre, hein! Ah, et ta copine droguée est là aussi, à ce que je vois.
(Heureusement qu'ils sont dans le même état que moi, je suis pas en état de prendre des coups.)
Dites-moi, c'est qui qui vous a mis dans cet état? Le jeune OdL? La jolie Lamia? Ce cher, très cher Rousse?
A moins que ça soit le capitaine lui- même? Ah ben ça, c'est pas n'importe qui, vous pouvez être contents!
Maintenant, vous savez qu'on se s'attaque pas aux Belerins et à la Garde comme çaaarghkof
Une quinte de toux violente, puis il reprit ses esprits.
En tout cas, c'est bien le bordel maintenant, et on peut rien faire... Rien, à part boire, boire et discuter jusqu'à ce qu'on soit en état de se remettre sur la gueule, tous les trois.
Alors, vous pouvez peut-être m'expliquer ce que vous, kof, êtes en train de faire? Deux princes se blessent pendant un tournoi on ne sait comment, et hop, je sais pas combien de siècles de diplomatie foutue en l'air!
Et vous essayez de tuer le premier passant qui vous tombe sous la main...
Avec un large sourire: C'est con que ce soit tombé sur le numéro trois de la plus grosse coterie d'Arkhan, hein!
Il resservit de la bière à ses deux interlocuteurs.
Et maintenant que vous pouvez plus agresser ceux qui vous passent devant l'nez, vous comptez faire quoi, petits malins?
Dernière modification par Vic (18-08-2009 21:33:50)
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Ronce, tout en continuant à raser les murs du hall du palais, esquivant les gardes, poursuivit sa discution avec la voleuse qui n'avaiit visblement pas froid aux yeux.
" Ah, c'est gentil de bien vouloir m'aider parce que avec mon copain Van Talis, on est un peu perdu et on peut pas trop demander notre chemin aux gardes, hein ?
Dites, pourquoi vous dites que c'est une roulure, la princesse ? C'est pas possible ! Elle a tellement l'air d'un ange ! Par contre, j'aimerais bien qu'on la trouve vite parce que là, la rose, elle m'écorche un peu la poitrine et puis elle va faner et faudra tout recommencer !
Et c'est quoi la Garde Franche ? Et vous gardez quoi ?
Nous, avec Van Talis, on fait partie des Alchimistes Républicains, on est vachement connus à Six-Fleurs, enfin, au moins dans un coin, enfin dans une auberge de Six-Fleurs !
Mais à Six-Fleurs, y a pas de princesse, c'est nul !
Dites, z'ètes sure que c'est la bonne direction ?"
Nadriril fait un mouvement négligent de la main et détourne la tête.
" Pas de problème, j'adoooore rendre service tu sais huhuhu ! En ce moment, ils sont sur les dents. Avec les bandits d'Anton qui attaquent pendant que d'autres nous aident... les soldats font n'im-por-te quoi !
La princesse quant à elle ben... Bon elle a sûrement de magnifiques culottes mais ça n'empêche que pour le peuple ça n'a jamais été qu'une pourrie gâtée. Ah qu'est-ce que je les aime pas celles-là. Même pasobligées de ramer pour avoir leurs jolies frippes mais toujours à se plaindre."
Elle croise les bras et fait la moue.
"Et puis vu le père moi je gage rien du caractère de la fille."
Elle fait un clin d'œil.
"Tu peux parler de nous autour de toi si ça te chante. On est les défenseurs de Bélérim. Nous on est les gentils, hihihi ! D'ailleurs on avait même fait affaire avec euuh... comment elle s'appelait hmmm? Ashamagni, ashe mugnus ? ouhlala, j'ai la mémoire courte.
Et puis la direction, c'est bien simple, il va falloir qu'on cherche dans le château. pour l'instant hmmm." Elle tape sur un truc près de son ring, brièvement une carte s'affiche en l'air et disparaît comme elle état venue. "Il va falloir qu'on rase les murs, comme ça on devrait trouver des portes, peut-être celle de ta bien-aimée !"
Dernière modification par Ronce (19-08-2009 14:35:56)
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Soudain, ils se plaquèrent le long d'un mur, tandis que passait un groupe de soldats affairés. Là, alors qu'ils attendaient avant de reprendre leur route, ils furent rejoint par un jeune homme qui avait visiblement couru, essoufflé, le visage rouge, plié en deux, les mains sur les genoux.
"Ronce...pfffff...je t'ai enfin retrouvé...pffff....on avait dit qu'on posait la rose devant la porte...pffff
Je la sens mal cette histoire, il y a plein de gardes partout, on va se faire éjecter ! pfff
On va y aller nous même !!! C'est une princesse, et nous on est...heu...pas chez nous !"
Se redressant et s’apercevant de la présence de la jeune demoiselle
"Bonjour mademoiselle, je m'excuse, je suis Van Talis, un ami de ce jeune homme. Il s'imagine pouvoir porter une rose à la princesse !"
Secouant la tête et haussant les épaules."Nan mais n'importe quoi !"
Dernière modification par Ronce (19-08-2009 14:35:21)
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Marie-Jeanne sortie de son coma et son fantôme revins à son corps. Elle était contente, elle avait maudit ses bourreaux et elle était sure qu'ils ne dormiront plus aussi paisiblement.
Elle regarda autour d'elle et remarqua le visage familier de Moustrik toujours en sang. Elle aperçue aussi ViC, Le ViC qui versa le premier son sang pour l'honneur d'Anton. Voyant d'autre convalescents elle monta sur un vieu tonneau et s'écria d'une voie fluette :
En vérité je vous le dis, les choses m'apparaissent plus clairement aujourd'hui !
Durant mon coma, une vision m'est venue et j'ai cru y distingué des faits d'une extrême gravité !! La Magie est à l'œuvre !! Le retour du Grand Fléau est à prévoir !!
Vous qui avez été témoins du combat vous ne pouvez que le confirmer ! N'avez-vous pas entendu l'arbitre ?
Cette épée voulait gouter le sang du Prince d'Anton ! Elle voulait s'en abreuver jusqu'à plus soif ! Et Gaïus à été son instrument !!
Mais était-il inconscient de ses actes ?
Que nénni je vous le dis ! J'ai vu son sourire !
Il SAVAIT que l'Epée était magique !! Il SAVAIT !
Et ses yeux ont désignés les complices qui l'ont aidé, qui lui on remis cette épée maléfique. Je sais QUI ils sont !!!
Elle fit une pause pour observer son auditoire. Celui-ci semblait scotché à ses lèvres, les yeux de Moustrik descendais un peu trop bas mais elle avait l'habitude ...
Elle s'empressa de poursuivre avant que son effet ne tombe à l'eau.
Ce sont les membres de la Famille Royale de Belerim ! Ce sont les dignitaires de Stella !
Vous ne me croyez pas ??
Comment ce faisait-il alors que les représentant de Stella était à la droite du Roi Trex ? Visiblement les relations qu'ils veulent tisser avec la famille royale sont très proche ...
N'avez vous pas remarqué le manque d'étonnement du Roi et de sa suite à l'exception peut-être de Bren ??
La vérité je vous le dis se trouve maintenant dans vos cœurs !
Agissez comme vous le devez !
Soudain, un soldat de Belerim apparu, sans doute attiré par le petit attroupement. A la vue de Marie-Jeanne, il chargea.
Heureusement la jeune femme n'était pas sans ressource, et Moustrik veillait à ses cotés.
Le soldat ne fut rapidement qu'un souvenir.
Voyez ! Ils essayent de me faire taire ! Il ne vous reste qu'une solution pour mettre fin à tout cela, et meme mettre fin à la guerre si la Royauté d'Anton pardonnera à Belerim !
Mais pour cela il faudra AGIR !
Votre avenir est dans vos mains !
Marie-Jeanne descendit de son tonneau, épuisée mais contente. Son discours n'était peut-etre pas tombé dans les oreilles de sourds ...
Dernière modification par Marie-Jeanne (18-08-2009 23:09:49)
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