Vous n'êtes pas identifié.
Bon, ça se corse...
Pour entrer dans la salle, pas de souci, Gollomer avait fourni la réponse à l'énigme avant même qu'Orfelin n'atteigne la porte des rats de droite. Comme annoncé la salle semble carrée et immense et sombre. La vue ne porte pas loin dans cette lumière sépulcrale, des petits couinements se font entendre mais les auteurs en sont pour l'instant dissimulés dans l'ombre.
Hésitation , un pas vers la gauche ou il sais se rapprocher des compagnons qui ont pénétré dans la salle... instinct grégaire... je me ressaisi et prend la direction de l'est , je tombe sur le coin de la salle ou un motif en terre cuite recouvre le sol. C'est le mécanisme pour désamorcer un des nombreux pièges, je l'actionne, combien de temps dure l'inactivation ? Y a t'il un ordre à respecter pour inactiver les pièges ? Trouverat on une issue à cette salle une fois les pièges désactivés, toutes ces questions se bousculent dans mon esprit surchauffé !
Un soulagement, j'entend, sans la voir, Sylvania qui me dit de poursuivre vers le nord, je n'y vois goutte mais j'avance. J'occis un second rat mais je me retrouve épuisé, je me rapproche du mur, m'y appuis à bout de souffle et constate éffaré que trois rats sont à portée de vue (qui est bien courte !) et que je suis vidé, seul, dans la pénombre... je serre un peu plus fort le gourdin tout neuf que m'a vendu (pour un prix fort raisonnable) le marchand Bernéphos.
Dernière modification par Orfelin (28-01-2010 08:27:20)
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Après la mésaventure du bosquet, Yoko n'avait pas vue le temps passer. Quasiment tous les aventuriers s'étaient rendus à Randome puis au nord-ouest vers ce qui semblait être leur destination. Là, au milieu des dunes de sables, se dressaient des blocs de pierres d'un âge semble tout immémorable. Suivant les traces de pas de ceux passés avant elle Yoko pénétra alors dans une grande salle enfouie.
Elle y retrouva les Sénéçons qui se préparaient à fouiller les lieux ainsi qu'une multitude d'autres aventuriers. Bien qu'encore peu à l'aise au contact de ses congénères, elles se décida néanmoins à participer à leurs recherches..... mais que cherchaient-ils? Mystère. Et cela n'avait d'ailleurs aucune importance pour elle. Seul comptait l'aide qu'ils pourraient peut être lui fournir en retour, une fois tout ceci terminé.
Elle se décida à suivre un groupe dans un vaste salle pleine de rongeurs. Le même jeune homme qui l'avait rappelée à la raison au bosquet s'y trouvait lui aussi. Chacun s'en fut alors visiter la vaste salle de son côté.
Rapidement, Yoko tomba sur un étrange mécanisme en terre cuite au sol. Par curiosité, ou témérité, elle enclencha celui-ci.... regrettant immédiatement son geste irréfléchis elle se rendit compte qu'elle aurait sans doute dû en informer ses compagnons avant.... trop tard.... c'était fait.
Quel ne fut pas son soulagement lorsqu'elle reçut des messages des autres aventuriers annonçant qu'ils avaient désactivés des pièges. Son empressement n'avait donc pas créer de problèmes cette fois-ci.... mais elle ne pouvait s'empêcher de penser que si elle blessait un Sénéçon par inadvertance, ceux-ci risquaient de ne jamais lui révéler l'emplacement de son lac.
Elle se promis de faire preuve de plus de prudence à l'avenir. L'échec n'était pas une possibilité envisageable. Ses parents l'attendaient.
Dernière modification par Yoko (27-01-2010 13:00:31)
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Grâce à Gemini, Kriss put rentrer dans les ruines. Oh punaise, un gros scorpion !
Kriss laissa les deux guerriers devant lui s'en occuper (encore faut-il qu'ils s'en occupent... Il verrait ça quand ses amis arriveront).
Gemini fit remarquer l'existence de runes dans le secteur. Kriss les nota aussitôt sur un vieux bout de papier. Ca pourrait ptêt servir aux archéologues...
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Déjà plusieurs heures que le monde s'amassait devant la porte de gauche, cela ne plaisait guère au Félix car il sera obligé de révéler la réponse à trop de monde à son goût mais bon il avait passé la nuit à attendre que plus de trois personnes se présente aussi. Maintenant qu'il a six personnes pouvant prendre les pièges à sa place, il pouvait dire la réponse et entrer ...
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Hum ... Que faire ?
A priori tous les pièges sont désactivés. Faut-il rester dans cette Salle des Rats ou sortir et aider le reste de la troupe à pénétrer dans les autres salles ?
Hum ... Je suis arrivé bien trop tard dans cette Salle des Rats. Essayons de ne pas être la dernière partout, ça pourrait devenir lassant !
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Achéron venait de recevoir un holoring du message codé...toute la journée durant, il avait cherché, raturé, recopié...mais il avait la traduction ! Enfin...
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Kain avait entendu des rumeurs de pièges dans les ruines, dont les commande seraient gardés par des troupeaux de rats, mais soit les jeunes avaient bien travaillé, soit son talent naturel pour l'observation avait prévalu, en tout cas l'exploration se déroulait sans pépin. Akita, qui était le cartographe officiel de la troupe, leur envoya un holoring pendant qu'il jouait à la balle au scorpion dans la salle de l'épreuve, c'est à dire qu'il essayait de frapper les scorpions avec son épée de façon à les faire rebondir sur les murs.
La rodeuse avait trouvé une nouvelle porte, et guida ses compagnons vers leur prochaine destination. Encore une porte, encore une énigme.
"Roh, mais ça suffit maintenant, ils avaient que ça à faire les Anciens de leur journée, poser des énigmes?" grommela le guerrier. Il était bien content de vivre à son époque, où on mettait bêtement des serrures sur les portes. Ils sont fous ces Anciens!
Et c'est alors qu'il se rendit compte que, pour une fois, l'énigme était compréhensible. Il posa une main méfiante sur la marque et prononça un mot, en s'attendant à recevoir un choc. La porte s'ouvrit dans un grincement et un nuage de poussière. Cool, pensa-t-il, j'en ai enfin trouvé une.
De l'autre côté, un souffle rauque résonnait sur les murs démesurément hauts de la salle. Le guerrier serra les deux mains sur son épée, son instinct lui disant que la baston la vraie, approchait.
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Hoo les vilaines bêtes ! Les rats réactivent les pièges !
Crier pour avertir les autres ne servira à rien, c'est trop grand par ici. Aller au boulot, faut éradiquer maintenant.
Tiens, bonjour Orfelin. Besoin d'un coup de main ? Des rats dans les parages ? Comment ça j'ai l'air fatigué !?! Mais comment puis-je me reposer dans un lieu pareil !!!
Sus aux démons, à moi les rats...tiens il a l'air confortable ce carrelage, ho si je m'asseyais un moment, hum voila ... ouais ... ronfl...fllfll....FlzzZzlfl...zzzZZz...HEIN OUI... oui je suis la ... zz...bougez pas...ZzZZZzZZzZZzzZZzzzz...
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Après avoir visité une partie lointaine du désert par son manque d'orientation, Enjin comprit qu'il devait suivre le troupeau pour ne pas se perdre, le combat contre les monstres n'étant pas son point fort, il était venu en tant que soutient aux aventuriers.
Une fois de plus il s'était perdu dans les ruines, courant dans tous les sens par peur de se faire attaquer par les serpents et les chauves souris , il avait découvert l'accès a une porte. Son passage furtif aux temples de L'Hypogriffe l'avait aidé a trouver le mot de passe rapidement.
Mais ouvrant la porte , il tomba nez a une espèce de bec de scorpion, affolé il prit la fuite mais au même moment il entendu un énorme bruit écrasant le sol, Kain venait d'empaler le scorpion, rassuré par sa présence il aperçu non loin Akita.
Ha enfin des têtes que je connais, dis donc il faudrait songé a sécuriser les alchimistes sinon on risque d'y passer!!!
Suivant ses compères Enjin avait accroché une ficelle a la cape d'Akita pour ne pas s'égarer...
Ensemble ils arrivèrent a une nouvelle porte gravé de son énigme. Akita ne mis pas longtemps a déchiffrer tout cela .Puis ils traversèrent cette nouvelle pièce pour trouver encore une porte.
On pouvais y lire ces quelques lignes
Pose ta main, et réponds :
Dans mon jeune temps je voyais, je percevais.
Dans mon jeune temps je pensais, je mâchais.
Autrefois je dominais, depuis je suis tombé.
Je ne nais pas comme je suis, je me découvre à ma mort.
Pendant leur réflexion on pouvait entendre du grabuges de l'autre coté, des bruits lourds qui faisait trembler les jambes d'Enjin qui ne penser qu'a se cacher plutôt que penser. Kain eu une lumière qui nous aida les aventuriers a ouvrir la porte.
A peine entré qu'un vent puissant souffla avec une odeur immonde, des bruits fracassant raisonner dans la salle. Enjin ne penser plus qu'a une seule chose rentrer a Stella.
Dernière modification par enjin (27-01-2010 18:10:45)
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Haaa ca fait plaisir à voir un peu d'organisation. Merci Dax pour la proposition !
Chacun de nous dans la Salle des Rats surveille un interrupteur pour que les pièges ne se réactivent pas. Merci qui ? Merci les ptits !
Enfin ... On est 8 ... Il y a 9 interrupteurs ...
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Les holorings arrivaient en continu de la part des oubliés du temps.
Les recherches avançaient à un rythme d'enfer dans les ruines. Les premières salles étaient ouvertes, les pièges étaient désactivés, Kain écrasait le scorpions à coup de talon et les énigmes incompréhensibles pour l'archer semblaient être un jeu d'enfant pour Akita.
Vaklav était un peu en retard. Il trainait à Stella pour récupérer un nouvel arc auprès de Bernephos.
Il commençait à se demander si cela valait le coup de courir jusqu'au désert pour s'entendre dire que les recherches étaient terminées.
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Le trinôme composé d'Enjin, de Kain et d'Akita allait de découvertes en découvertes, la force de Kain écartant les monstres indésirables, le support d'Enjin pour panser les morsures qu'Akita n'avait pas soignées, et la rôdeuse et son flair plus en avant.
Mais leurs forces ne s'arrêtaient pas là, Al Kabyihr, le gardien du savoir, apportait son aide précieuse dans la résolution des énigmes. Tout comme deux puissants guerriers, Syrus Raknaryne, gardien de l'intégrité, et Otto, gardien du Talion, qui s'apprêtaient à les rattrapper pour prêter main forte dans ces ruines infestées de monstres bien plus forts qu'Enjin et Akita.
Enfin, Roderik fermait la marche, se tenant aux cotés d'autres explorateurs dont Akita n'avait plus reçu de nouvelles depuis deux jours maintenant, sauf par l'intermédiaire du gardien de la nature.
Cosmophile et Ashe Magnus, entre autres, les rejoindraient bientôt, en tout cas elle l'espérait de tout son coeur.
La bravoure et l'organisation des plus jeunes dans la salle des rats permettaient une avancée rapide, quel talent on devait leur reconnaître !
Alors qu'une nouvelle porte était identifiée et franchie à l'aube du 57ème jour, Akita distillait, comme à son habitude, les informations nécessaire à la progression de tout un chacun. Naturellement, concernant les Oubliés, elle n'attendait pas qu'ils la contactent pour les mettre au courant.
C'est ainsi que Kain et Enjin la rejoignirent rapidement. Otto et Syrus, en léger décalage, se retrouvèrent quand à eux confinés dans une salle apparemment sans issue. Ils contactèrent Akita :
"Akita, où es-tu passée, j'ai suivi tes indications et pourtant je me suis retrouvé nez à nez avec un mur, ne trouvant aucune alternative."
La rôdeuse réfléchit... Comment était-ce possible ?..
Elle ne voyait que deux solutions, soit la tignasse bleue de Syrus l'empêchait d'y voir clair et il fallait l'envoyer chez le coiffeur expressément, soit ... les murs étaient amovibles. Après tout, un piège s'était réactivité entre le passage du trinôme de tête et les deux guerriers.
Par prudence, Akita recommanda aux Oubliés de ne poursuivre que lorsque les plus jeunes assureraient la sécurité et la stabilité des ruines, en attendant d'en savoir plus.
Dernière modification par Akita Zogzog (27-01-2010 20:45:22)
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Syrus avait regardé les symboles mystérieux transmis par Akita. Il lui fallu du temps pour déchiffrer ce qui était marqué. Cela ressemblait aux caractères ancien que l'ancien gardien de l'Hyppogriffe avait essayé de lui faire apprendre. Il se souvenait que quelques symboles, mais pas de tous. Sommeil...veille le Gardien, secrets, mort... alors que les mots retrouvait un sens, il se décida a rejoindre ses compagnons qui lui dirent par holoring qu'ils avaient tout déchiffré et que tout était très clair. Il était quand même fier de voir qu'il avait réussit a retenir quelques choses des enseignement passés. S'il était naturellement doué a l'épée, ce n'était pas le cas pour les domaines comme la littérature ou l'histoire. Il se dirigea selon les instructions d'Akita, mais se retrouva devant un mur.
-Qu'est-ce que cela signifie !?
Il se dirigea un peu plus au nord, mais il n'y avait rien, aucun passage. derrière lui, des sifflement se firent entendre.
-Et bien en attendant, si je faisais un peu de ménage... fit il sourire aux lèvres et l'arme à la main.
Non loin de là le gardien du Talion arrivait.
Dernière modification par Syrus Raknaryne (27-01-2010 20:49:09)
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Bien qu'il soit parti avec 24h de retard d'Aupille, Al Kabyihr avait couru à la poursuite des éclaireurs de l'expédition, s'accordant un repos minimal. Arrivé sain et sauf dans l'Antichambre de la Nécropole, dégoulinant de sueur, il avait eu le plaisir de rencontrer de nombreux combattants, plus ou moins expérimentés, mais inconnus. Il n'avait pas osé leur adresser la parole, ne sachant même s'ils parlaient la même langue. Chacun avait l'air occupé à visiter les lieux.
Grâce aux indications de ses compagnons, il accéda sans peine à une porte. Il n'avait absolument pas été retardé par cette première énigme : la réponse lui était immédiatement venue à l'esprit, le calendrier et la religion étant étroitement reliés.
Le message gravé en Ancyen sur les murs de la Salle de l'Epreuve lui prit quelque temps à déchiffrer, mais en temps que Gardien du Savoir il était clairement avantagé, ayant un accès quotidien à la Grande Bibliothèque du Temple du Sphinx et aux notes érudites de son prédécesseur, Aristote le Sage. Le message déchiffré, Al Kabyihr s'attarda à tuer un Serpent agressif, esquiva un Scorpion puis repartit vite à la poursuite de ses compagnons.
La deuxième porte, et la deuxième énigme, lui demanda quelques minutes de réflexion... Voyons... Mâcher ? Un ruminant, peut-être ? Mmmh... Soudain, la réponse lui parut évidente. Après avoir collé sa main contre la paroi de la porte, il prononça le mot... La porte s'ouvrant, Al Kabyihr pénètra avec précaution dans la pièce...
Un bruit assourdissant explosa derrière lui, le faisant sursauter : la porte s'était refermée brusquement, et le bruit se répercutait en multiples échos dans la salle, manifestement immense... et où règnait une odeur... indéfinissable...
Dernière modification par Al Kabyihr (27-01-2010 22:54:18)
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Andrade n'était pas fière...
Elle avait toujours été tête en l'air, d'ailleurs encore aujourd'hui elle ne savait jamais combien elle avait d'argent, à part une quantité approximative : très peu.
Toujours est-il que pour une fois ce n'était pas là l'origine de son problème, non.
Là il s'agissait d'énigmes. Et les réflexions intenses pour résoudre, ce n'était pas du tout son truc. Non, vraiment pas du tout.
Et là, devant une porte qu'elle souhaitait franchir, il y en avait une, d'énigme.
Bizarrement, celle la lui parut assez évidente, cela aurait dû lui mettre la puce à l'oreille...
Mais non, tout contente d'avoir, pensait-elle, trouvé la solution, elle prononça ce qu'elle pensait être la bonne réponse.
Qu'elle ne fut pas sa surprise lorsqu'elle reçut une décharge fort désagréable en retour !
Alors non, Andrade n'était pas fière.
Heureusement, d'autres personnes avaient répondu correctement, et elle put passer la porte en répétant ce qu'ils disaient.
Mais elle trouvait sa réponse bien plus adaptée...
Toujours est-il que les séneçons, via holorings, qui vibraient sans arrêt en ce moment, l'avertirent qu'il y avait d'autres portes et d'autres énigmes... Et des runes à déchiffrer en plus, il ne manquait plus que ça !
Si au moins Cosmophile était là, il serait quoi faire lui...
Elle songea à quel point elle était bien en sa compagnie et retrouva le sourire.
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Tandis que les plus jeunes s'occupaient de la salle des rats, Cosmophile remonta l'aile droite de la salle, pour retrouver Kriss afin qu'il lui répare ses gantelets, dont les lanières commençaient à fatiguer. Il arriva à une porte qui demandait qu'on prononce un mot de passe. Comme on le lui avait soufflé auparavant, il n'hésita pas à la prononcer à haute et intelligible voix devant Eurynome, Zébu Rayé et Ulairi qui étaient là...
Krk ! La porte s'entrouvrit. Cosmophile poussa un cri de joie : « Yahou ! À nous la salle de l'épreuve ! » Tout à sa joie, il ne remarqua pas qu'à ces mots, la porte se referma. Re-Krk ! Et quand il posa sa main gantelée de fer sur la poignée... Dzzt ! « Yahouille ! Aaaah ! Ça picote ce truc... » Il secoua ses mains endolories et réessaya... Re-Dzzt ! « Ah ! Mais c'est pas possible... » Avant de s'y reprendre pour la troisième fois, il eut la présence d'esprit de reprononcer le mot de passe. Krk ! La porte s'entrouvrit de nouveau et cette fois-ci il parvint à rentrer sans encombres.
Il venait de rejoindre Kriss et Ronce dans la salle de l'épreuve (selon les inscriptions sur la porte).
Dernière modification par Cosmophile (27-01-2010 23:53:02)
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Les pieges se réactivent donc méfiance pour nos ainés soit les rats réactivent les pieges par leur présence et effectivement on n'a plus qu'à tous les tuer et s'en faire des brochettes .
Soit un temps est imparti au mécanisme mais on devrait pouvoir les réactiver avec un minimum d'organisation assez rapidement sur la demande de nos ainés.
On en saura un peu plus demain...
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Animah longeait le grand erg plein est en suivant les signes laissés par le rôdeur. Lui même s'était servi des renseignements fournis par l'indispensable Cosmophile pour trouver cet itinéraire, semble-t-il plus rapide que celui indiqué par le Prince de Belerim. Elle avait quitté Randome malgré l'orage menaçant, pressée de rejoindre enfin ces fameuses ruines.
A l'endroit où la piste s'enfonçait dans les dunes, Animah s'arrêta pour prendre un peu de repos avant la dernière étape. Elle se coupait un morceau de pain en se réjouissant d'être si proche des ruines lorsque son holoring s'activa, modérant son enthousiasme :
Bientôt minuit.
Mes compagnons de fortune n'ont pas bougé. Trois rôdeurs reprenant leurs esprits après une longue et éprouvante marche. Nous nous sourions poliment mais ne pouvons cacher notre inquiétude dans ce lieu clos (tout du moins je le présume, puisque je suis sous terre, mais toutefois je n'en vois aucune paroi et mes sens sont altérés par l'odeur de renfermé et par le mélange d'air, de sable et de poussière que je respire ) où semblent errer les fantômes du temps.
Depuis ma descente dans les ruines, j'avoue être déjà remonté par deux fois à la surface pour avoir une idée du temps passant, avec aussi le discret espoir de voir une tête plus familière.
Le rôdeur est bourru. Deux rôdeurs le sont bien plus...
Et alors que je ne sais donc rien de l'espace m'entourant, mon seul rempart contre la peur et la fuite est pourtant la vision - normalement guère réconfortante- des mines déconfites et soucieuses de mes deux ours de compagnons de camp, dont la placidité feinte suffit à me convaincre que -peut-être- nous survivrons à cette nuit.
Survivre. Car c'est de cela dont il s'agit. Vraiment.
Ici nul paysan pour vous ramener à la civilisation. Nulle civilisation que celle des âmes damnées peuplant l'entre-deux mondes.
Et c'est pourquoi une dernière fois avant de me coucher je vais faire un tour en haut des escaliers, guetter l'arrivée bienheureuse d'un visage familier.
Le désert m'avait caché sa plus redoutable facette, La Nuit dans ses Entrailles, où la présence d'un être familier s'échangerait contre un royaume.
Autant dormir dehors...
S.
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Kordoch s'est trouvé bien content que d'autres réfléchissent et trouvent la solution de l'énigme. A discuter avant cela trop près de la porte, appuyé sur celle-ci en réalité, il a eu la mauvaise surprise de recevoir une décharge électrique dans l'épaule. Expérience qu'il ne souhaite pas renouveler en répondant faux aux énigmes.
Entré dans la chambre de l'épreuve avec les autres, il a commencé à explorer un peu cette nouvelle salle. Voyant l'alchimiste Magnus aux prises avec des bestioles du coin, il est parti lui filer un coup de main mais loin de le remercier ou même seulement de lui parler elle l'a ignoré et est partie plus loin. Haussant les épaules il part de l'autre coté continuer son exploration. Longeant un mur, il repère un couloir étroit et discret s'enfonçant loin dans les ruines. Sur toute la longueur de celui-ci, une grande fresque très abimée par endroits orne les murs. Elle semble montrer une histoire.
N'ayant que peu de goût pour l'art, le guerrier l'ignore et avance dans le couloir. Brutalement ue trappe s'ouvre soudain sous son pied puis se referme sur celui-ci. Kordoch pousse un cri qui résonne dans les couloirs. Forçant, avec le manche de son arme, la trappe à s'ouvrir il dégage son pied meurtri en s'invectivant qu'il a été très stupide à avancer comme ca sans précaution.
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Suffisamment de pièges étaient désactivés pour se déplacer à nouveau sereinement.
Avec difficulté, la rôdeuse explorait la salle du crâne, à commencer par l'Est. Ce n'était pas une partie de plaisir, en effet un nouveau type de monstre avait fait son apparition, il s'agissait de CHAUVE-SOURIS HURLEUSE.
Le bruit ambiant était insupportable, donnait le vertige, les énormes chiroptères semblaient avoir élu cette antichambre comme grotte de nidification, d'où leur hostilité à l'égard de ceux qui pénétraient la pièce.
Les aventuriers, proies appétissantes s'il en est, représentaient de plus une opportunité facile de nourrir leur progéniture.
L'un des monstres décida de s'en prendre à la rôdeuse stellesie. Akita, qui ne vit pas le mammifère volant lui fondre dessus dans son dos, poussa un hurlement qui s'atténua rapidement dans la cacophonie générale.
C'était un cri de surprise plus que de douleur, car si l'envergure de ces monstres était impressionnante, leurs morsures ne valait rien en comparaison des loups qu'Akita avait l'habitude de chasser.
Akita accéléra le pas, se dépêchant d'explorer la salle, trouva une brèche dans les murs continus et s'y engouffra. Au bout du couloir une porte l'attendait, ainsi qu'une 4ème énigme :
Je rugis comme le lion, je fauche comme le dragon,
On dit parfois que je vole aussi bien qu'un aigle,
Que je suis tricéphale, ou change-forme selon.
Akita réfléchit et proposa sa réponse.
BzZztZBzZtZTzBzTzZt
"AILLE, tu vas l'accepter ma réponse saleté de porte !"
Vexée, elle communiqua l'énigme aux Oubliés. Kain, qui jusque là déprimait un peu de ne pas trouver beaucoup de solutions aux énigmes, lui répondit aussitôt.
Elle proposa donc une nouvelle réponse, qui lui permis d'accéder à l'Oeil Droit du Refuge.
C'est qu'il ne fallait pas le prendre pour un con le Kain (finalement) !
La pièce qui se découvrit à akita était circulaire, très sombre, les murs ornés de quelques flambeaux de manière très clairsemée.
On entendait un bruit grave et continu, bien moins agressif que dans la pièce précédente. On aurait dit un ronflement.
Sans qu'Akita le sache, à quelques mètres de là dans l'obscurité, une bête se réveillait. Alors un rugissement assourdissant se fit entendre, le sang d'Akita se glaçait, elle était pétrifiée..
Dernière modification par Akita Zogzog (29-01-2010 00:46:38)
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Pendant leur expédition pour trouver la nouvelle salle, Enjin se lanca dans l'aventure tout seul comme un grand, la bobine de ficelle a la main pour suivre de loin Akita. Alors qu'il ruminait dans sa tête des paroles farfelus, Enjin errait dans la salle se cachant de tout les monstres mais avancer petit a petit. Puis a un moment il fut pris de panique du faites qu'il n'avait plus de nouvelle de ses compères, il décida se revenir sur ses pas mais en vains, la ficelle qui le rattachait a Akita devait etre coupé...
Catastrophé le pauvre Enjin courra dans tous les sens, mais au cours du temps, il faisait chaud, les murs rétrécissait, on pouvait entendre de grande respiration, Enjin longeait les murs discrètement lorsqu'il aperçu une drôle de dalle. S'avançant discrètement, il mis le pied sur cette dalle, l'erreur fut telle que lorsque qu'il se retourna...
Un Bé!! Un Bé!! Bé..ot Bégaya-t-il
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Esperanza gardait son interrupteur consciencieusement. Les rats approchaient et succombaient sous ses coups. Jusqu'au moment où une chauve souris gigantesque s'approcha ! Esperanza n'en avait jamais vu de la sorte et elle fut prise de panique, les jambes flageolantes, les mains tremblantes ! Son premier réflexe fut de porter un coup. Se fut un échec lamentable et Esperanza compris qu'il n'y avait aucune issue.
C'est à ce moment la que la Chauve souris l'attaqua. Parant les premières attaques, Esperanza fut vite submergée. Les blessures se multipliaient et la dernière fut fatale.
Esperanza s'effondra sur le sol. Sa robe rouge en lambeau. Son dernier souffle se dispersa dans les ruines. Première victime de l'expédition du Prince Gaïus, son corps fut enterré plus tard à l'entrée du site, dans le désert, sa robe rouge accroché à une stelle de fortune ...
Ainsi mourut Esperanza De La Muerte en ce 59ème jour de la Saison Maudite de l'an 942.
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Kriss stressait. Le nombre de guerriers devant la porte ne cessait d'augmenter et personne ne passait la porte. Personne ne tentait de peur de prendre du courant dans les doigts. Et ça commençait à inquiéter Kriss d'être entouré de tant de gens. On ne pouvait se mouvoir facilement et si un piège se déclenchait ou une attaque impromptue de monstre se faisait, ce serait un massacre, personne ne pourrait éviter le danger.
La transpiration commençait à goutter sur le front de Kriss. Il n'en pouvait plus. La chaleur humaine, des fois, ça va, mais là... Ca avec le stress de ses peurs, il commençait à sombrer dans une paranoïa néfaste. D'habitude, il irait se cacher quelque part, mais là, il ne pouvait se cacher nulle part. Seul l'autre côté de la porte pouvait lui offrir un répit. Il pesta. Il grogna. Mais personne ne semblait se décider à bouger. Un grand guerrier aux cheveux bleus - un ponte de Stella à ce qu'il avait compris - dit par deux fois le mot "Valenciane". Par deux fois, il eut un échec à ce qu'il lui sembla.
Mais "Valenciane" ? Pourquoi un tel mot ?
Dans la coterie, la réponse avait été tranchée. Il ne restait que deux termes qui se battaient en duel. Les deux désignaient la même chose, mais l'un était celui qui assurait l'existence de l'autre. La dernière strophe le poussa dans la direction de la proposition de Gemini et Eurynome par opposition à celle de Cosmophile, Gron et Orfelin. Dans le pire des cas, il n'avait pas peur de reprendre une autre décharge électrique. Il y survivrait. Il commençait à avoir l'habitude d'être électrocuté...
Et alors, qu'il finissait de se rappeler le choix de la réponse à l'énigme, la promiscuité des lieux et des personnes autour de lui mirent les cellules de son corps en émoi qui crièrent leur terreur. Il ne devait rester ici plus longtemps. "Archons heureux, archons planqués" qu'ils disent. Il était temps de se trouver un lieu de planque.
La terreur altérant son sens de la survie, Kriss marcha d'un pas déterminé et alla devant la porte poussant quelques personnes au passage mais n'y prenant garde. Il n'avait le temps de s'occuper d'eux, la peur le pourchassait. Devant la porte, il souffla le court mot. Un déclic se fit. Il soupira et passa la porte. Et eut un grand sourire. Même si l'endroit était bien éclairé, le couloir regorgeait de cavités d'où un archer pouvait tirer tout en étant protégé. C'était parfait...
Mais Kriss continua la route, se doutant qu'une foule de personnes allaient se précipiter derrière lui. Ils profitaient du fait qu'il ait ouvert la voie, mais dans ces ruines, on ne pouvait faire autrement, les nombreux pièges avaient refroidi l'ardeur de nombre de voyageurs. Nombre avait été blessé, non pas par les monstres, mais par les pièges. Il entra dans un couloir qui semblait être désigné pour contenir un piège. A priori, d'après ce qu'il savait, il n'y en avait qu'un, le trois. Ca valait le coup de tenter la chose. Il courut et déboucha dans une salle. Un scorpion le regarda de son regard ténébreux. Kriss ne bougea pas. Il ne savait que faire. Rester attendre du renfort ou continuer l'exploration ?
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Ronce avait fait comme à son habitude.
Il avait laissé la plupart des explorateurs se précipiter, se suivant les uns les autres, pressés d'aller d'une énigme à l'autre et lui était parti se perdre entre les scorpions et les serpents, des bestioles qu'il trouvait relativement amorphes.
Et il s'était bien perdu, se heurtant à des murs en recoins, à des zones d'obscurité et à des culs de sacs.
Mais son ébauche de carte progressait et ses contacts avec Kriss et Cosmophile des Seneçons lui permettaient d'aller à peu près vers la bonne direction. Et puis, se heurtant de nouveau à un mur imprévu, il se disait qu'il fallait bien tout explorer, histoire de ne pas louper un artéfact, une porte ou un monstre inconnu. Après tout, il était un explorateur, oui ou non ?
Puis, finalement, il retrouva des gens dans un tout petit couloir. Tout à sa joie d'avoir à peu près retrouvé la bonne direction, il n'entendit pas le petit déclic et manqua de basculer dans un chausse-trappe ! Heureusement, le piège semblait avoir du mal avec le poids des ans !
Mais le jeune archer se dit qu'il risquait d'avoir du mal à continuer à se perdre dans ces ruines avec une cheville démise !
Boitillant, il arriva dans un corridor bondé d'explorateurs en expectative devant une porte. Ronce entendit parler de l'énigme, secoua la tête et se dit qu'il y réfléchirait mieux avec une bière.
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Syrus, aux cotés de l'Elu de neuf Queue et d'autre membre de sa coterie attendait. Il savait ce qui l'attendait un peu plus loin. Lorsque Kriss passa la porte, son regard croisa celui d'Otto, de Bélakassiah, la plus redoutable guerrière qu'il connaissait. Ils n'eurent pas besoin de se dire un seul mot. Tout été clair. Erkenbrand franchit a son tour la porte pour s'arrêter quelques mètre plus loin. Quelques instant plus tard, Otto prit les devant très rapidement, fonçant comme une flèche.
- Les plans d'Akita sont vraiment d'une exactitude parfaite, se dit-il.
Chaque recoin, chaque corridor emprunté, il lui semblait les avoir déjà parcouru. Il fit la route jusqu'à la porte en compagnie de la Guerrière à la chevelure de Feu. Ils arrivèrent enfin devant la porte. Il regarda un instant les inscription sur la porte tandis que celle-ci s'ouvrait. Il entra à son tour dans cette nouvelle salle. Akita était là, Al Kabyhir aussi. Kain ne devait pas être bien loin et les autres membres des Oubliés du Temps ne tarderaient pas a arriver. C'est alors qu'il regarda un peu plus loin dans la salle. Il comprenait maintenant que les choses sérieuses commençaient. La tension dans la salle était palpable...
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