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Depuis quelques jours, un jeune homme explorait Six-Fleurs et ses alentours. Il paraissait quelque peu perdu et si quelqu'un l'avait suivi il aurrait trouvé sa démarche bien erratique !
Ce garçon, car on pourrait l'appeler ainsi , contemplait le monde d'un oeil naïf du haut de ses 28 ans.
La bourse vide et les pantalons usés aux genoux il cherche à accomplir ses premiers faits d'arme sans grand succès.
Sachant que pour subsister il devrait chasser des animaux et en revendre les dépouilles, il se mit en quête de blaireaux mais n'en trouva pas un. Il vit un rat et tenta de lui faire tâter du gourdin. Or cette bête vicieuse s'avèra trop agile et mordit à belle dent les mollets du novice.
Heureusement il sû se panser et après une seconde tentative tout aussi infructueuse et pareillement récompensée il retourna en ville.
En vérité, une possibilité s'offrait à lui ; bien qu'orphelin il avait eu connaissance d'un cousin éloigné ayant réussi et créé une côterie à Six-Fleurs.
S'il en trouvait le courage malgré ses minces prouesses il demanderait son aide pour démarer sa carrière de guerrier et accomplir de hauts-faits.
Dernière modification par Orfelin (17-12-2009 22:06:45)
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Enfin Orfelin avait trouvé le courage de contacter Cosmophile, un cousin éloigné, en quelque sorte, du côté de sa mêre (sa mêre naturelle donc , avant quelle ne décède d'une terrible maladie ainsi que sont épou).
Il profitat de cette parenté arguée (et découverte fort récemment d'ailleurs) pour postuler dans la côterie des Séneçons.
Et Ô joie , il se vit promptement accepté en son sein douillet.
Aussitôt il contacta les recrues de la côterie se trouvant aux alentours de Six-Fleurs pour leur proposer humblement de cheminer de concert .
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Le drame.
Et pourtant cette partie de chasse avait bien commencé...
Depuis plusieurs jours ils avaient progressé de façon assez fluide, pour des débutants, coordonnant leur attaques pour vaincre des créatures qui leurs étaient supérieures individuellement.
Avec ses compagnons de route eux aussi recrues de fraîche date des Sénéçons, ils progressaient vers leur objectif, traverssant de sympatiques villages.
Il faut l'avouer , l'ambiance s'en était ressentie lorsqu'un vil gredin, sous l'identité d'un certain "Paul Hisson", avait assommé la pauvre Sylvania au coin d'un bois et laissé pour morte l'infortunée.
Nous avons poursuivi nôtre chemin prenant le temps de nous perfectionner au fil de nos escales urbaines mais l'humeur était forcément moins insouciante.
Arrivé à proximité de nôtre but nous fîment la rencontre d'autres membres de la coterie puis de quelques membres des éminents Alchimistes Républicains. Leur personnalités semblaient sympatiques mais leur allure de "vieux baroudeurs" les rendait intimidant.
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Dernière modification par Orfelin (11-01-2010 08:20:39)
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Incidemment il y avait eu aussi la rencontre avec un jeune aventurier qui avait accepter de partager quelques jours les dangers et les gains du voyage.
Mais tout cela ne fait que retarderl'abominable aveux. Oui, ça avait été môche... par ou commencer ?
La faune était abondante et irritante autour du batiment de la coterie, rendue encore plus inquiétante par la présence d'abérrations issues de la brume lors de la saison maudite.
Cependant la présence de rudes gaillards en nombre dans les alentours amenuisait la menace des bêtes féroces.
Oserai-je l'excuse de la nervosité, d'un esprit saturé par ces longues journée de route et de combat , de blessures récentes non encore toutes cicatrisées. Non , cela ne suffit pas.
Les trois comparses se tenaient aux aguets à la lisière du bois, le chat sauvage s'était approché sans prendre garde, s'illusionnant sur un possible repas. Et là , les choses tournèrent au vinaigre.
Orfelin dans sa hâte de prouver son adresse et sa valeur en tant que chasseur se jeta sur le félin. Mais l'animal était vif et fit un écart en bondissant.
Se précipitant pour l'abattre il leva son puissant gourdin et donna un coup violent.
Cependant de chat il n'y en avait plus, il avait détallé à la première attaque et qui donc se retrouva sous ce coup inconsidéré ?
Gollomer, le rude guerrier, compagnon de route et protecteur de Sylvania !
Orfelin ne réalisa pas immédiatement sa bévue, il fut stupéfait et horrifié lorsqu'il réalisa son geste.
La blessure infligée n'était pas mortelle certe mais l'éclat furieux dans l'oeil de son ami le fit frémir.
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Dernière modification par Orfelin (11-01-2010 08:21:12)
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